Synopsis/présentation
Première aventure d'Adam Sandler dans le monde de l'animation, Eight Crazy Nights raconte l'histoire d'un orphelin dans la jeune trentaine (Sandler) qui ruine le Noël/Hanukkah de tout le monde par son comportement souvent vulgaire et délinquant. Ceci le mène devant le juge, et il est pris en charge par un personnage ridiculisé de tous.


Image
Le film est offert au format d'image respecté de 1.85:1 d'après un transfert 16:9, ainsi qu'au format de 1.33:1 dans un transfert 4:3.

Les récentes super-productions d'animation proposées en format DVD (Monster Inc., Lion King, etc.) ont habituées le consommateur a un niveau de qualité dans les normes supérieurs du marché. Eight Crazy Nights, mis à part un petit défaut, ne déroge pas à ces normes de qualité. La définition générale est optimale, offrant une image nette et précise. Les couleurs sont magnifiquement reproduites; riches, brillantes et pleinenement saturées. On notera des nuances de couleurs subtiles et bien dégradés. Le niveau des noirs est constant, sans fluctuation, tandis que le contraste est parfaitement contrôlé, évitant les sur-brillances. Les parties sombres offrent des dégradés subtils et bien détaillés menant à des noirs purs et intenses.

On remarque un léger effet de crénelage (effet d'escalier) à quelques moments, mais jamais trop dérengeant. Il n'y a pratiquement aucune sur-accentuation des contours et on oberve aucune trace de compression. Un très bon transfert.


Son
La version originale anglaise est offerte dans un mixage Dolby Digital 5.1, alors que le doublage français n'est qu'au format Dolby 2.0 Surround. Deux pistes de commentaires audios peuvent aussi accompagner l'écoute du film. Pour la première piste de commentaires audio, on peut entendre deux des personnages; Whithey et Eleanore (Sandler), ainsi que le co-producteur/co-auteur Allen Covert. La seconde piste de commentaire audio, résolument plus technique, laisse place à certains des artisans du film.

Le mixage original anglais (Dolby Digital 5.1) est moyennement dynamique. Le champ sonore se déploit essentiellement des canaux avants. Le champ stéréophonique est articulé et actif, offrant de nombreuses transitions canaux à canaux. Les canaux d'ambiophonie ne sont mis à contribution que pour la reproduction de quelques sons d'ambiance (par exemple les foules) et la trame-sonore. Les timbres de voix sont naturels et constants, bien que l'enregistrement des dialogues ait eu lieu en trois endroits différents (dont l'appartement d'Adam Sandler). Les basses, sans être très appuyées, ont assez de force pour correctement appuyer ce mixage. L'usage du canal .1 (LFE) est pratiquement nul.

Des sous-titres, optionels, sont disponibles en anglais et en français.


Suppléments/menus








Conclusion
Eight Crazy Nights nous présente un Adam Sandler beaucoup plus vulgaire qu'à l'habitude et qui profite de toute la liberté voulue grâce à un support comme l'animation .
Cette édition est tout ce qu'il y a de plus convenable. L'image, sans avoir la qualité des meilleurs transferts, est d'un bon niveau. Le mixage anglais tire peu profit des possibilités du 5.1, ce qui est dommage mais typique de comédie. Les suppléments sont nombreux mais trop souvent peu intructif.