Pretty Woman (15th Anniversary)

Critique
Synopsis/présentation
Loin dêtre un conte de fée conventionnel, Pretty Woman nous raconte lhistoire dune prostituée nommée Vivian (Julia Roberts) qui, par un soir comme les autres, a comme client un homme daffaire blasé et solitaire (Richard Gere). Ce dernier linvite à passer la nuit entière avec lui, peu importe le prix. Ce quelle ignore, cest que son client est maintenant follement amoureux delle et ne peut tout simplement pas sen passer. Mais puisque les deux ne partagent pas le même style de vie, Vivian doit sadapter et subir toute une métamorphose pour se mêler à une classe sociale.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Notons quil sagit du premier transfert 16:9 de ce film, les deux précédentes éditions ne létant pas.
On remarque un peu de grain, par contre, aucun parasite ne vient salir limage. La définition générale est excellente considérant lâge du matériel source, ce qui permet doffrir un niveau de détails élevé et des textures rendues avec soins, en particulier lors des gros plans. La palette commet également un sans faute, ne montrant aucun décoloration ou sursaturation. Les couleurs sont reproduites avec justesse et les tons de peau paraissent naturels. Le niveau de noirs est correctement ajusté, bien quun peu trop bas par moments. Les contrastes sont correctement gérés. Les dégradés paraissent fluides et ne bloquent trop tôt quà quelques reprises. Les noirs sont profonds et purs, absents de tout effet fantôme.
Numériquement, aucun problème dimportance nest visible. On ne note aucun halo causé par la suraccentuation des contours ni le moindre fourmillement incontrôlé.
Son
Le film est offert avec un mixage anglais au format Dolby Digital 5.1 et un doublage français au format Dolby 2.0 Surround. Une piste de commentaires audio animée par le réalisateur Gerry Marshall est également disponible.
Cest ici quon constate lâge du film. Le dynamisme du mixage laisse à désirer et malgré la présence du 5.1, lutilisation des canaux d'ambiophonies demeure limitée. Dans les faits, pour la grande majorité du film, les sons proviennent exclusivement du canal central, avec uniquement quelques rares effets stéréophoniques. Ce qui est dommage, cest que même la trame sonore ne semble pas profiter du potentiel du 5.1 et se limite aux enceintes avants. Cest dautant plus dommage, puisque le film contient de lexcellente musique. Au niveau des dialogues, les paroles semblent parfois étouffés et la fidélité moyenne. Le support des basses est plutôt limité et les extrêmes graves (LFE, canal .1) ne se font pratiquement jamais ressentir.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Malgré lentraînante musique de ce film, incluant la célèbre chanson de Roy Orbison, le véritable mérite de Pretty Woman est davoir fait de Julia Roberts une célébrité quasi instantanée. Nul doute que sa carrière naurait pas été la même si ça navait été de ce film. De plus, sa chimie avec Richard Gere était crédible, ce qui explique en partie pourquoi ils se sont réunis sur le plateau de Runaway Bride.
Une autre réédition, un autre questionnement à savoir si lachat en vaut la peine. Évidemment, si vous ne possédez pas déjà ce titre, il serait important de lajouter à votre collection si vous aimez le genre (comédie romantique). Si vous possédez lune des deux éditions précédentes, vous pouvez quand même considérer cet achat puisque limage est maintenant optimisée 16:9 et que certains suppléments ont été ajoutés.
Loin dêtre un conte de fée conventionnel, Pretty Woman nous raconte lhistoire dune prostituée nommée Vivian (Julia Roberts) qui, par un soir comme les autres, a comme client un homme daffaire blasé et solitaire (Richard Gere). Ce dernier linvite à passer la nuit entière avec lui, peu importe le prix. Ce quelle ignore, cest que son client est maintenant follement amoureux delle et ne peut tout simplement pas sen passer. Mais puisque les deux ne partagent pas le même style de vie, Vivian doit sadapter et subir toute une métamorphose pour se mêler à une classe sociale.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Notons quil sagit du premier transfert 16:9 de ce film, les deux précédentes éditions ne létant pas.
On remarque un peu de grain, par contre, aucun parasite ne vient salir limage. La définition générale est excellente considérant lâge du matériel source, ce qui permet doffrir un niveau de détails élevé et des textures rendues avec soins, en particulier lors des gros plans. La palette commet également un sans faute, ne montrant aucun décoloration ou sursaturation. Les couleurs sont reproduites avec justesse et les tons de peau paraissent naturels. Le niveau de noirs est correctement ajusté, bien quun peu trop bas par moments. Les contrastes sont correctement gérés. Les dégradés paraissent fluides et ne bloquent trop tôt quà quelques reprises. Les noirs sont profonds et purs, absents de tout effet fantôme.
Numériquement, aucun problème dimportance nest visible. On ne note aucun halo causé par la suraccentuation des contours ni le moindre fourmillement incontrôlé.
Son
Le film est offert avec un mixage anglais au format Dolby Digital 5.1 et un doublage français au format Dolby 2.0 Surround. Une piste de commentaires audio animée par le réalisateur Gerry Marshall est également disponible.
Cest ici quon constate lâge du film. Le dynamisme du mixage laisse à désirer et malgré la présence du 5.1, lutilisation des canaux d'ambiophonies demeure limitée. Dans les faits, pour la grande majorité du film, les sons proviennent exclusivement du canal central, avec uniquement quelques rares effets stéréophoniques. Ce qui est dommage, cest que même la trame sonore ne semble pas profiter du potentiel du 5.1 et se limite aux enceintes avants. Cest dautant plus dommage, puisque le film contient de lexcellente musique. Au niveau des dialogues, les paroles semblent parfois étouffés et la fidélité moyenne. Le support des basses est plutôt limité et les extrêmes graves (LFE, canal .1) ne se font pratiquement jamais ressentir.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Malgré lentraînante musique de ce film, incluant la célèbre chanson de Roy Orbison, le véritable mérite de Pretty Woman est davoir fait de Julia Roberts une célébrité quasi instantanée. Nul doute que sa carrière naurait pas été la même si ça navait été de ce film. De plus, sa chimie avec Richard Gere était crédible, ce qui explique en partie pourquoi ils se sont réunis sur le plateau de Runaway Bride.
Une autre réédition, un autre questionnement à savoir si lachat en vaut la peine. Évidemment, si vous ne possédez pas déjà ce titre, il serait important de lajouter à votre collection si vous aimez le genre (comédie romantique). Si vous possédez lune des deux éditions précédentes, vous pouvez quand même considérer cet achat puisque limage est maintenant optimisée 16:9 et que certains suppléments ont été ajoutés.
Qualité vidéo:
3,8/5
Qualité audio:
3,4/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,8/5
Note finale:
3,7/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2005-09-23
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2005-09-23
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700