Eight Legged Freaks

Critique
Synopsis/présentation
Chris McCormack (David Arquette) retourne dans sa ville natale et est confronté à une situation plutôt problématique : la ville est envahie par de sanguinaires arraignées géantes...
Image
Eight Legged Freaks est présentée au format respecté de 2.35:1 d'après un transfert vidéo anamorphosé, somme toute, d'excellente facture.
Comme on peut l'esperer d'une production si récente, l'interpositif utilisé est en très bon état. On ne dénote pratiquement aucun grain, ni parasite.
La définition est plus que satisfaisante; l'image offrant un bon niveau de détail en plus d'être précise. Seuls quelques plans semblent un peu moins nets mais l'effet est momentané. Il est difficile de parler de justesse des couleurs tant la stylisation est, volontairement, marquée. On peut cependant affirmer, sans faire erreur, que celles-ci sont riches, brillantes et pleinement saturées mais sans jamais déborder. Le niveau des noirs (la brillance) est correctement ajusté et sans aucune fluctuation. On remarque des contrastes bien gérés. Les dégradés sont fluides et subtils, les parties sombres offrant un excellent niveau de détail. Les noirs sont purs et intenses.
Notons finalement une légère sur-définition des contours visible dans les hauts-contrastes. Ceci mis à part, aucun autre défaut numérique ne marque ce transfert.
Son
Cette édition est accompagnée de deux bandes-son, une française et une anglaise, toutes deux Dolby Digital 5.1.
La bande-son anglaise Dolby Digital 5.1 est de bonne qualité quoique le mixage déçoive un peu. Cette bande-son jouit d'un bon dynamisme mais sans jamais être éxagérémment agressive. La fidélité est sans problème; tant les effets que la trame-sonore sont impeccablement reproduits. Les dialogues sont nets, bien intégré à l'espace tandis que le timbre des voix est naturel.
Là ou se mixage décoit est au niveau des effets d'ambiophonie. En effet, les enceintes arrières ne sont que sporadiquement utlisées. S'il est vrai que cette utilisation provoque quelques fois des effets de surprise, l'usage des canaux arrières reste discret et ne contribue pas à créer un environnmement totalement immersif.
Notons de plus que l'utilisation du canal LFE (.1) est plutôt limitée, ne venant que rarement appuyer des effets sonores.
Soulignons que des sous-titres sont disponibles en anglais, français et espagnol.
Suppléments/menus
Conclusion
Cette édition a peu à se reprocher au point de vue technique. Directement dans la lignée des films d'horreur des années cinquante (Them!, The Deadly Mantis), Eight Legged Freaks vous fera passer un bon moment et vous fera certainement sourire. À déconseiller à tous les arachnophobes de ce monde...
Chris McCormack (David Arquette) retourne dans sa ville natale et est confronté à une situation plutôt problématique : la ville est envahie par de sanguinaires arraignées géantes...
Image
Eight Legged Freaks est présentée au format respecté de 2.35:1 d'après un transfert vidéo anamorphosé, somme toute, d'excellente facture.
Comme on peut l'esperer d'une production si récente, l'interpositif utilisé est en très bon état. On ne dénote pratiquement aucun grain, ni parasite.
La définition est plus que satisfaisante; l'image offrant un bon niveau de détail en plus d'être précise. Seuls quelques plans semblent un peu moins nets mais l'effet est momentané. Il est difficile de parler de justesse des couleurs tant la stylisation est, volontairement, marquée. On peut cependant affirmer, sans faire erreur, que celles-ci sont riches, brillantes et pleinement saturées mais sans jamais déborder. Le niveau des noirs (la brillance) est correctement ajusté et sans aucune fluctuation. On remarque des contrastes bien gérés. Les dégradés sont fluides et subtils, les parties sombres offrant un excellent niveau de détail. Les noirs sont purs et intenses.
Notons finalement une légère sur-définition des contours visible dans les hauts-contrastes. Ceci mis à part, aucun autre défaut numérique ne marque ce transfert.
Son
Cette édition est accompagnée de deux bandes-son, une française et une anglaise, toutes deux Dolby Digital 5.1.
La bande-son anglaise Dolby Digital 5.1 est de bonne qualité quoique le mixage déçoive un peu. Cette bande-son jouit d'un bon dynamisme mais sans jamais être éxagérémment agressive. La fidélité est sans problème; tant les effets que la trame-sonore sont impeccablement reproduits. Les dialogues sont nets, bien intégré à l'espace tandis que le timbre des voix est naturel.
Là ou se mixage décoit est au niveau des effets d'ambiophonie. En effet, les enceintes arrières ne sont que sporadiquement utlisées. S'il est vrai que cette utilisation provoque quelques fois des effets de surprise, l'usage des canaux arrières reste discret et ne contribue pas à créer un environnmement totalement immersif.
Notons de plus que l'utilisation du canal LFE (.1) est plutôt limitée, ne venant que rarement appuyer des effets sonores.
Soulignons que des sous-titres sont disponibles en anglais, français et espagnol.
Suppléments/menus
Conclusion
Cette édition a peu à se reprocher au point de vue technique. Directement dans la lignée des films d'horreur des années cinquante (Them!, The Deadly Mantis), Eight Legged Freaks vous fera passer un bon moment et vous fera certainement sourire. À déconseiller à tous les arachnophobes de ce monde...
Qualité vidéo:
4,2/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,4/5
Note finale:
4,0/5
Auteur: Steve Tremblay
Date de publication: 2002-11-01
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Samsung HCL5515W, Récepteur Harman/Kardon AVR310, Lecteur DVD Panasonic RP91, enceintes Cerwin Vega, câbles Accoustic Research
Date de publication: 2002-11-01
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Samsung HCL5515W, Récepteur Harman/Kardon AVR310, Lecteur DVD Panasonic RP91, enceintes Cerwin Vega, câbles Accoustic Research