Ghostbusters / Ghostbusters 2 (Giftset)

Critique
Synopsis/présentation
À New York, trois docteurs effectuant des recherches dans le monde du paranormal fondent leur propre agence dextermination de revenants: S.O.S Fantômes. Mais étrangement, lapparition de spectres de lau-delà est beaucoup plus fréquente depuis un certain temps. Certes, ceci augmente énormément la popularité du trio Ghostbusters, qui fait maintenant la couverture des magazines Time et Newsweek, mais tout semble indiquer quil sagit en fait dun signe précurseur de la fin du monde. «Who you gonna call?»
Image
Avant tout chose, il importe de préciser quil ne faut pas se fier aux spécifications inscrites sur le boîtier car contrairement aux indications, le premier film est bel et bien offert au format dimage respecté de 2.35 :1 daprès un transfert 16:9 et non pas 1.33:1. Pour le deuxième film, le format est bien de 2.40:1 daprès, encore une fois, un transfert 16:9.
En comparant cette réédition avec celles parus précédemment, on remarque une amélioration du rendu de l' image autant pour le premier film que pour le second. Entre autre, on observe une diminution dans la présence de parasites et de taches sur le matériel source. Certes, quelques défauts mineurs sont encore visibles, mais rien de véritablement dérangeant considérant lâge du film. La définition générale de limage est excellente, mais évidemment loin dêtre comparable aux récentes productions. Le niveau de détail est excellent, à lexception de quelques plans densemble un peu plus flous. Les textures sont fidèlement rendues. Au niveau des couleurs, on note une amélioration remarquable avec cette nouvelle édition. Alors que certaines scènes paraissaient trop rougeâtres ou, au contraire, bleuâtres avec lancien produit, nous avons maintenant droit à des couleurs beaucoup plus justes. On ne note aucun problème de sursaturation ou de débordement, un autre défaut qui affligeait la précédente édition. Par conséquent, les tons de peau semblent naturels. Le niveau des noirs est correctement ajusté. Autre avantage, les contrastes sont mieux gérés. Les dégradés paraissent fluides, mais bloquent encore prématurément par moments. Les noirs sont profonds et purs.
Numériquement, cette édition ne présente que très peu de défauts. On note un peu de fourmillement pour le premier film, mais pratiquement pas pour le second. Outre cela, on remarque parfois un léger effet fantôme dans certains noirs et cest à peu près tout.
Son
Le premier film offre un remixage anglais Dolby Digital 5.1 et des doublages français et espagnols au format Dolby 2.0 Surround. Ne vous réjouissez pas trop vite, car la suite offre encore un remixage anglais Dolby Digital 5.1, mais seulement des doublages espagnols et portugais Le français a disparu.
Ici encore, cette nouvelle édition promet une nouveau remixage 5.1 qui, ironiquement, est pratiquement identique à celui offert sur lédition précédente. Les différences sont minimes, voire absentes. Règle générale, le dynamisme du mixage varie grandement en fonction de laction vue à lécran, alors que la spatialité nest développée que sporadiquement. Les enceintes arrières reproduisent quelques sons dambiance, mais pratiquement aucun effet localisé. Le support de la trame sonore est pratiquement nulle et se limite à un vulgaire effet décho. Nul besoin de dire que le célèbre «Who You Gonna Call?» de Ray Parker Jr. na évidemment pas tout limpact souhaité. Bref, la plus grande partie des effets sonores proviennent des canaux avants, avec une stéréophonie correctement exploitée (quelques transitions gauche/droite sont audibles). Les dialogues, considérant lâge de lenregistrement, paraissent nets et intelligibles, à lexception de quelques paroles légèrement étouffées. Si le remixage 5.1 apporte un avantage, cest surtout au niveau des graves quon le retrouve. Les basses supportent adéquatement le mixage en général et les extrêmes graves (canal .1, LFE) se font ressentir à plusieurs reprises.
Afin datteindre le plus grand public possible, les deux films peuvent être accompagnés de sous-titres anglais, français, espagnols, portugais, chinois, coréen ou thaïlandais. De plus, une piste de commentaires audio est disponible. Celle-ci permet dentendre le réalisateur Ivan Reitman, le producteur Joe Medjuck et le scénariste/acteur Harold Ramis.
Suppléments/menus
Conclusion
La route a été longue avant que Ghostbusters ne prenne laffiche. Originalement écrit par Dan Aykroyd et Harold Ramis, il aura fallu de nombreuses modifications, autant au scénario quau choix de acteurs, avant davoir un scénario final accepté. Mais avant même la sortie en salle, le succès de Ghostbusters était assuré pour différentes raisons: Trame sonore populaire, pratiques de marketing attirantes, auteurs en vogue, etc.
Comme toutes les rééditions, en bout de ligne, on finit toujours par se poser la question à savoir si lachat en vaut la peine. Dans ce cas-ci, la réponse est «oui». Évidemment, le nouveau transfert vidéo en vaut la peine et le mixage sonore est loin dêtre mauvais. Les suppléments sont également intéressants, mais dans le cur de plusieurs québécois, le simple fait dentendre Venkman dire «Zut, flûte, caca, boudin !» à larrivé du «Bibendum Chammallow» est une raison en soit dacheter ce coffret. Dommage par contre que le deuxième film ne profite pas d'un doublage en français.
À New York, trois docteurs effectuant des recherches dans le monde du paranormal fondent leur propre agence dextermination de revenants: S.O.S Fantômes. Mais étrangement, lapparition de spectres de lau-delà est beaucoup plus fréquente depuis un certain temps. Certes, ceci augmente énormément la popularité du trio Ghostbusters, qui fait maintenant la couverture des magazines Time et Newsweek, mais tout semble indiquer quil sagit en fait dun signe précurseur de la fin du monde. «Who you gonna call?»
Image
Avant tout chose, il importe de préciser quil ne faut pas se fier aux spécifications inscrites sur le boîtier car contrairement aux indications, le premier film est bel et bien offert au format dimage respecté de 2.35 :1 daprès un transfert 16:9 et non pas 1.33:1. Pour le deuxième film, le format est bien de 2.40:1 daprès, encore une fois, un transfert 16:9.
En comparant cette réédition avec celles parus précédemment, on remarque une amélioration du rendu de l' image autant pour le premier film que pour le second. Entre autre, on observe une diminution dans la présence de parasites et de taches sur le matériel source. Certes, quelques défauts mineurs sont encore visibles, mais rien de véritablement dérangeant considérant lâge du film. La définition générale de limage est excellente, mais évidemment loin dêtre comparable aux récentes productions. Le niveau de détail est excellent, à lexception de quelques plans densemble un peu plus flous. Les textures sont fidèlement rendues. Au niveau des couleurs, on note une amélioration remarquable avec cette nouvelle édition. Alors que certaines scènes paraissaient trop rougeâtres ou, au contraire, bleuâtres avec lancien produit, nous avons maintenant droit à des couleurs beaucoup plus justes. On ne note aucun problème de sursaturation ou de débordement, un autre défaut qui affligeait la précédente édition. Par conséquent, les tons de peau semblent naturels. Le niveau des noirs est correctement ajusté. Autre avantage, les contrastes sont mieux gérés. Les dégradés paraissent fluides, mais bloquent encore prématurément par moments. Les noirs sont profonds et purs.
Numériquement, cette édition ne présente que très peu de défauts. On note un peu de fourmillement pour le premier film, mais pratiquement pas pour le second. Outre cela, on remarque parfois un léger effet fantôme dans certains noirs et cest à peu près tout.
Son
Le premier film offre un remixage anglais Dolby Digital 5.1 et des doublages français et espagnols au format Dolby 2.0 Surround. Ne vous réjouissez pas trop vite, car la suite offre encore un remixage anglais Dolby Digital 5.1, mais seulement des doublages espagnols et portugais Le français a disparu.
Ici encore, cette nouvelle édition promet une nouveau remixage 5.1 qui, ironiquement, est pratiquement identique à celui offert sur lédition précédente. Les différences sont minimes, voire absentes. Règle générale, le dynamisme du mixage varie grandement en fonction de laction vue à lécran, alors que la spatialité nest développée que sporadiquement. Les enceintes arrières reproduisent quelques sons dambiance, mais pratiquement aucun effet localisé. Le support de la trame sonore est pratiquement nulle et se limite à un vulgaire effet décho. Nul besoin de dire que le célèbre «Who You Gonna Call?» de Ray Parker Jr. na évidemment pas tout limpact souhaité. Bref, la plus grande partie des effets sonores proviennent des canaux avants, avec une stéréophonie correctement exploitée (quelques transitions gauche/droite sont audibles). Les dialogues, considérant lâge de lenregistrement, paraissent nets et intelligibles, à lexception de quelques paroles légèrement étouffées. Si le remixage 5.1 apporte un avantage, cest surtout au niveau des graves quon le retrouve. Les basses supportent adéquatement le mixage en général et les extrêmes graves (canal .1, LFE) se font ressentir à plusieurs reprises.
Afin datteindre le plus grand public possible, les deux films peuvent être accompagnés de sous-titres anglais, français, espagnols, portugais, chinois, coréen ou thaïlandais. De plus, une piste de commentaires audio est disponible. Celle-ci permet dentendre le réalisateur Ivan Reitman, le producteur Joe Medjuck et le scénariste/acteur Harold Ramis.
Suppléments/menus
Conclusion
La route a été longue avant que Ghostbusters ne prenne laffiche. Originalement écrit par Dan Aykroyd et Harold Ramis, il aura fallu de nombreuses modifications, autant au scénario quau choix de acteurs, avant davoir un scénario final accepté. Mais avant même la sortie en salle, le succès de Ghostbusters était assuré pour différentes raisons: Trame sonore populaire, pratiques de marketing attirantes, auteurs en vogue, etc.
Comme toutes les rééditions, en bout de ligne, on finit toujours par se poser la question à savoir si lachat en vaut la peine. Dans ce cas-ci, la réponse est «oui». Évidemment, le nouveau transfert vidéo en vaut la peine et le mixage sonore est loin dêtre mauvais. Les suppléments sont également intéressants, mais dans le cur de plusieurs québécois, le simple fait dentendre Venkman dire «Zut, flûte, caca, boudin !» à larrivé du «Bibendum Chammallow» est une raison en soit dacheter ce coffret. Dommage par contre que le deuxième film ne profite pas d'un doublage en français.
Qualité vidéo:
3,8/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,8/5
Note finale:
3,8/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2005-08-19
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2005-08-19
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700