Cellular (édition canadienne)

Critique
Synopsis/présentation
Jessica Martin (Kim Bassinger) est une enseignante de sciences menant une vie sans histoire. Par un beau matin comme les autres, Jessica est kidnappée par cinq individus plutôt menaçants. Amenée de force dans le grenier dune maison isolée, Jessica réussi à appeler à laide en assemblant un téléphone à partir dun appareil en morceaux. Elle tombe sur le cellulaire dun jeune homme, Ryan (Chris Evans), qui ne croit pas son histoire. Mais avec les preuves quapporte Jessica et en voyant linaction des policiers, il décide tout faire en son pouvoir pour la sauver. Il sen suit une course contre la montre et dinnombrables poursuites à travers les rues de Los Angeles.
Ironiquement, le scénario de Cellular nous vient de Larry Cohen, à qui on doit également le film Phone Booth. Cette fois-ci, au lieu dêtre prisonnier dune cabine téléphonique, le protagoniste a toute la liberté souhaitée, mais ne peut toujours pas perdre la communication.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un excellent transfert 16:9.
Récente production oblige, linterpositif utilisé est propre et naffiche strictement aucun parasite. La définition générale de limage est surprenante, montrant un niveau de détails élevé. Les textures, que ce soit les briques dune maison ou les cheveux des acteurs, sont rendues distinctement et avec un souci du détail. La palette commet un sans faute, profitant de couleurs justes et parfaitement saturées. Dès les premières scènes du film, on constate lexcellente reproduction des couleurs. Les scènes tournées au quai de Santa Monica donne un bon exemple d'une palette de couleurs pleinement étendue. Aucun problème, quil sagisse de débordement ou de sur-saturation, nest à déplorer. Les tons de peau paraissent également naturels. Le niveau de noirs est parfaitement ajusté, alors que les contrastes évitent toute surbrillance. Les parties sombres conservent un haut niveau de détails grâce à des dégradés fluides et ne portant jamais à bloquer trop rapidement. Les noirs sont profonds et purs, sans traces deffet fantôme.
Numériquement, la compression est toute aussi efficace que le transfert lui-même. Le seul problème notable consiste en un très léger halo visible à quelques reprises, mais rien de bien problématique.
Son
Pour lédition américaine de Cellular, la version originale du film est offerte aux formats Dolby Digital 5.1 et Dolby 2.0 Surround. Au Canada, cette dernière est substituée par un doublage français au format Dolby 2.0 Surround. Une piste de commentaires audio, animée par le réalisateur David R. Ellis (avec la participation de sa sur, productrice, et sa fille, coordonnatrice des cascades), permet dentendre dautres artisans du film sur leurs téléphones cellulaires.
Bien que les suspenses mettent souvent lemphase sur lambiance du film, le mixage 5.1 de Cellular pousse beaucoup plus loin les limites du format. Les canaux dambiophonie explosent deffets sonores localisés et sons dambiance, le tout accompagné de nombreuses transitions canaux à canaux: Les poursuites en voitures, les fusillades, les bruits de foules, Le résultat est un mixage sonore pleinement immersif et qui met le spectateur au cur de laction. Les dialogues sont souvent concentrés vers le canal central, toujours intelligibles et nets. La trame sonore est reproduite dans tous les canaux et aident à plonger le spectateur dans lambiance du film. Ce mixage exige également beaucoup des basses, qui supportent en grande partie certains effets sonores. Les extrêmes graves (canal .1, LFE) grondent fréquemment.
Des sous-titres anglais et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
On peut trouver de nombreux parallèles entre Cellular et Phone Booth, mais en bout de ligne, les deux uvres sont suffisamment distinctes pour représenter un certain intérêt. Bien quil sagisse de deux suspenses, celui-ci favorise laction et les poursuites au lieu de jouer sur une note moraliste comme Phone Booth.
Fidel à son habitude, le studio New Line (par lentremise de Alliance Atlantis au Canada) nous offre un produit DVD de première qualité. Le transfert vidéo est dexcellente qualité et impressionnera les plus exigeants. Le mixage sonore est particulièrement actif et immersif, du début à la fin. À entendre absolument. Les suppléments en offrent pour tous les goûts, mettant lemphase sur la production du film.
Jessica Martin (Kim Bassinger) est une enseignante de sciences menant une vie sans histoire. Par un beau matin comme les autres, Jessica est kidnappée par cinq individus plutôt menaçants. Amenée de force dans le grenier dune maison isolée, Jessica réussi à appeler à laide en assemblant un téléphone à partir dun appareil en morceaux. Elle tombe sur le cellulaire dun jeune homme, Ryan (Chris Evans), qui ne croit pas son histoire. Mais avec les preuves quapporte Jessica et en voyant linaction des policiers, il décide tout faire en son pouvoir pour la sauver. Il sen suit une course contre la montre et dinnombrables poursuites à travers les rues de Los Angeles.
Ironiquement, le scénario de Cellular nous vient de Larry Cohen, à qui on doit également le film Phone Booth. Cette fois-ci, au lieu dêtre prisonnier dune cabine téléphonique, le protagoniste a toute la liberté souhaitée, mais ne peut toujours pas perdre la communication.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un excellent transfert 16:9.
Récente production oblige, linterpositif utilisé est propre et naffiche strictement aucun parasite. La définition générale de limage est surprenante, montrant un niveau de détails élevé. Les textures, que ce soit les briques dune maison ou les cheveux des acteurs, sont rendues distinctement et avec un souci du détail. La palette commet un sans faute, profitant de couleurs justes et parfaitement saturées. Dès les premières scènes du film, on constate lexcellente reproduction des couleurs. Les scènes tournées au quai de Santa Monica donne un bon exemple d'une palette de couleurs pleinement étendue. Aucun problème, quil sagisse de débordement ou de sur-saturation, nest à déplorer. Les tons de peau paraissent également naturels. Le niveau de noirs est parfaitement ajusté, alors que les contrastes évitent toute surbrillance. Les parties sombres conservent un haut niveau de détails grâce à des dégradés fluides et ne portant jamais à bloquer trop rapidement. Les noirs sont profonds et purs, sans traces deffet fantôme.
Numériquement, la compression est toute aussi efficace que le transfert lui-même. Le seul problème notable consiste en un très léger halo visible à quelques reprises, mais rien de bien problématique.
Son
Pour lédition américaine de Cellular, la version originale du film est offerte aux formats Dolby Digital 5.1 et Dolby 2.0 Surround. Au Canada, cette dernière est substituée par un doublage français au format Dolby 2.0 Surround. Une piste de commentaires audio, animée par le réalisateur David R. Ellis (avec la participation de sa sur, productrice, et sa fille, coordonnatrice des cascades), permet dentendre dautres artisans du film sur leurs téléphones cellulaires.
Bien que les suspenses mettent souvent lemphase sur lambiance du film, le mixage 5.1 de Cellular pousse beaucoup plus loin les limites du format. Les canaux dambiophonie explosent deffets sonores localisés et sons dambiance, le tout accompagné de nombreuses transitions canaux à canaux: Les poursuites en voitures, les fusillades, les bruits de foules, Le résultat est un mixage sonore pleinement immersif et qui met le spectateur au cur de laction. Les dialogues sont souvent concentrés vers le canal central, toujours intelligibles et nets. La trame sonore est reproduite dans tous les canaux et aident à plonger le spectateur dans lambiance du film. Ce mixage exige également beaucoup des basses, qui supportent en grande partie certains effets sonores. Les extrêmes graves (canal .1, LFE) grondent fréquemment.
Des sous-titres anglais et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
On peut trouver de nombreux parallèles entre Cellular et Phone Booth, mais en bout de ligne, les deux uvres sont suffisamment distinctes pour représenter un certain intérêt. Bien quil sagisse de deux suspenses, celui-ci favorise laction et les poursuites au lieu de jouer sur une note moraliste comme Phone Booth.
Fidel à son habitude, le studio New Line (par lentremise de Alliance Atlantis au Canada) nous offre un produit DVD de première qualité. Le transfert vidéo est dexcellente qualité et impressionnera les plus exigeants. Le mixage sonore est particulièrement actif et immersif, du début à la fin. À entendre absolument. Les suppléments en offrent pour tous les goûts, mettant lemphase sur la production du film.
Qualité vidéo:
4,2/5
Qualité audio:
4,2/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
4,2/5
Note finale:
4,2/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2005-03-03
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2005-03-03
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700