Mission: Impossible - Ghost Protocol (3 Disc)

Critique
Synopsis/présentation
Quatrième volet des aventures dEthan Hunt et de sa bande, Mission : Impossible Ghost Protocol est un digne successeur aux trois premiers opus de la série. Les cinéastes retenus pour prendre les commandes dun Mission : Impossible ont toujours été relativement intéressants. Si Brian De Palma demeure le seul à avoir défendu une vision plus auteuriste et plus fidèle à la télésérie dorigine, John Woo a ouvertement fait de la franchise un spectacle daction tandis que J.J. Abrams a ramené lesprit déquipe qui manquait cruellement dans le deuxième volet. Agissant ici à titre de producteur (de même que Tom Cruise), il laisse la place à Brad Bird. Connu surtout pour son travail danimation chez Pixar (il est le digne réalisateur de Ratatouille et The Incredibles), le cinéaste fait ici le saut à la fiction. Contrairement à Andrew Stanton qui a complètement raté ce passage de lanimation à la fiction cette année avec John Carter, Bird accouche dune uvre explosive et dispendieuse.
uvre sur une équipe dont lemployeur a dissout toute existence et toute trace, Ghost Protocol veut nous faire assister à la renaissance de cette équipe qui doit racheter sa confiance et son innocence à travers un complot de fin du monde. Entrant en cohérence avec ses uvres pixariennes, le film de Bird exploite encore une fois la thématique du mouton noir qui doit exposer un respect public à partir dune construction qui évolue dans le secret. Cen était de même pour le rat qui convoitait le titre de chef cuisinier dans un chic restaurant de Paris ainsi que pour les membres de la famille Parr qui avaient vu leur rôle de super héros renaître suite à une sévère condamnation de lopinion populaire.
Ghost Protocol expose également le talent de metteur en scène de Bird en ce qui a trait aux séquences daction. La plus mémorable et la plus excitante est évidemment celle de plus de trente minutes qui débute par une ascension de Burf Khalifa, la tour de Dubaï et qui se termine par une folle poursuite dans le désert. Tout cela entrecoupé par un intense et habile « faux échange » qui se déroule sur deux étages simultanément à lintérieur même de la tour. Sinon, les poursuites de voiture (dont une séquence finale se déroulant dans un stationnement !), lutilisation de gadgets et dune technologie avancée, les combats violents ainsi que des moments de pures tensions sont, en plus de délicieux clins dil aux trois précédents films, ce qui définit le film. Bien avant son intrigue somme toute relativement simple qui sert de fil conducteur, ce sont ces séquences daction qui définissent davantage Ghost Protocol.
À ce titre, Brad Bird suit plutôt la tendance quavait choisie J.J. Abrams dans Mission : Impossible III en se concentrant à la fois sur lintrigue et laction, mais aussi sur les personnages. Lidée déquipe demeure ici à lavant-plan malgré légo démesuré de Cruise qui le fait de tous les plans. Ethan Hunt prend aussi un peu plus de profondeur grâce à un dénouement étonnant et relativement émouvant qui donne un tout nouveau sens au titre.
Ghost Protocol, en plus de deux heures, réussit lexploit de divertir, de tenir en haleine et de surprendre. Rejoignant le troisième opus, luvre est moins lourde que le volet de John Woo et moins complexe que celle de De Palma. Désormais une entreprise mercantile bien avant autre chose, Mission : Impossible demeure un divertissement de qualité. Grâce à des cinéastes expérimentés et inspirés comme Brad Bird, elle peut sans complexe se classer au-dessus de la mêlée.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.40:1 à une résolution de 1080p.
Assurément un transfert qui frôlera la référence cette année. La matériel source est impeccablement présenté offrant une qualité d'image de haut niveau. Textures et détails sont reproduits avec finesse alors que les couleurs font preuve de richesse, de nuance et de précision. Limage affiche ainsi justesse et brillance. Les tons de peaux demeurent naturels tandis que les effets de surbrillance sont évités grâce à un contraste parfaitement géré. Les parties sombres sont reproduites dans toute leur splendeur grâce à des dégradés fluides et précis. Une mention également pour les tons de gris nuancés et précis. Ce sont des noirs purs et profonds qui complètent ce remarquable transfert.
La partie numérique se sauve de tout défaut majeur apparent.
Son
Quatre bandes-son se retrouvent sur cette édition. Trois au format Dolby Digital 5.1 en version française, espagnole et portugaise ainsi quune disponible en version originale française au format Dolby TrueHD 7.1.
À limage du transfert vidéo, le mixage TrueHD 7.1 saura tester les limites de votre équipement (ainsi que la patience vos voisins). Nous somme dans le pur film daction; il ny a aucune surprise à constater le rendu dynamique, excitant et enlevant de ce mixage. Précision et immersion sont assurément les qualificatifs les mieux placés pour mieuz résumer cette bande-sonore. Naturellement, cela est en grande partie aussi dû à lexploitation judicieuse et habile du potentiel multicanal. Les effets dambiophonie sont particulièrement saisissants et permettre une parfaite immersion. Les ouverture frontale et latérale servent à la majorité des éléments sonores. À travers cela, il y a un juste mariage entre les séquences plus en retrait où les dialogues demeurent constamment et parfaitement intelligibles. La trame sonore (annoncée dès le générique avec le classique thème de la série) est intégrée parfaitement au mixage et profite du support des basses fréquences. Profondes et puissantes, elles feront trembler bien des planchers de même que pour le canal dextrêmes graves qui grondent avec une étonnante efficacité.
Des sous-titres anglais, français, espagnols et portugais sont disponibles.
Suppléments/menus
Deux éditions sont disponibles, lune dentre elles exclusivement disponible dans les Best Buy et les Future Shop comprenant un disque complet de suppléments. Lautre « standard » comporte un condensé de ces suppléments.
Pour les suppléments présents sur les deux éditions, nous retrouvons dabord « Mission Accepted : Heating Up In Dubai (17:36) » un segment qui propose de sattarder aux travail des cascadeurs. On y vante aussi beaucoup la beauté du paysage de la ville de Dubaï de même que les avantages dy tourner plusieurs séquences. « Mission Accepted : Vancouver Fisticuffs (12:01) » est un segment (trop) court qui faire un rapide survol du tournage de quelques scènes à Vancouver. « Impossible Missions : The Sandstorm (3:06) » se situe dans la même lignée et propose de jeter un expéditif coup dil au travail fou (deux semaines !) pour la séquence de la tempête de sable. Nous avons enfin « Impossible Missions : Props (3 :07) » qui pose un regard sur les gadgets du film. Trop court, trop en surface, encore une fois.
Viennent ensuite huit scènes supprimées dont une version alternative de la séquence douverture. Inégales, elles valent néanmoins le détour ne serait-ce que pour les commentaires audio du réalisateur Brad Bird qui sont disponibles.
Sur lédition exclusive, nous retrouvons en plus de ces segments, dix autres qui complètent un regard un peu trop sommaire, mais néanmoins complet sur les diverses parties de production du film (pré-production, production, post-production). « Suiting Up in Prague (17:58) » est le segment se rapprochant le plus du typique documentaire « making of » avec des interventions de la distribution, des producteurs (J.J. Abrams en tête) et de Brad Bird le cinéaste. Il sagit assurément du plus intéressant et « complet » des segments.
« Impossible Missions : The Russian Prison (11:49) » sattarde sur la séquence du début où Ethan Hunt se fait évader de la prison. Le travail danimation de Bird sera ici mis à profit puisque que, fait intéressant, il est passé de lanimation à la fiction réelle pour élaborer cette séquence. « Impossible Missions : Shooting in IMAX (3 :33) » se concentre sur les possibilités et les avantages de filmer en IMAX alors que « Impossible Missions : Art Department (2:56) » démystifie lidée dauthenticité lorsque les artisans nous révèlent comment ils ont fait passer Prague pour une ville de Russie. « Impossible Missions : A Roll of Film (2:33) » enseigne la post-production dun film pendant que « Impossible Missions : Life Masks (1:40) » parle du principe des masques, si cher à la série. Nous retrouvons aussi « Impossible Missions : Stepping Into the Storm (2:02) » un essai pour la séquence dans le désert et « Impossible Missions : Dubai Car Crash (8 :15) » un retour précis sur la création calculée de la séquence de poursuite en voiture dans le désert. Enfin, « Impossible Missions : Lens on the Burj (0 :57) » revient sur la séquence filmée à Burf Khalifa, la tour de Dubaï et « Impossible Missions : Composer (10 :42) » pose un regard sur le travail du compositeur Michael Giacchino, fidèle partenaire de J.J. Abrams.
Deux bandes-annonces du film sont aussi présentes pour cette riche et complète section.
Conclusion
Film daction dune efficacité redoutable, Mission : Impossible Ghost Protocol est un digne divertissement. Profitant du talent du réalisateur Brad Bird et de la légèreté de J.J. Abrams (quil avait agréablement apporté lors du troisième volet), le long-métrage réussit à mener une intrigue suffisamment excitante et des séquences daction souvent renversantes (nous penserons évidemment à la séquence de plus de trente minutes à Dubaï).
Lédition est techniquement époustouflante. Le transfert vidéo est riche et précis alors que le mixage Dolby TrueHD 7.1 est carrément hallucinant. Pour les fans, lédition exclusive en vente chez Best Buy est recommandée pour la simple et unique raison quelle inclut plus dune heure de supplément supplémentaire à lédition « standard » qui offre un maigre condensé de ce qui constitue un survol très complet de la production du film.
Quatrième volet des aventures dEthan Hunt et de sa bande, Mission : Impossible Ghost Protocol est un digne successeur aux trois premiers opus de la série. Les cinéastes retenus pour prendre les commandes dun Mission : Impossible ont toujours été relativement intéressants. Si Brian De Palma demeure le seul à avoir défendu une vision plus auteuriste et plus fidèle à la télésérie dorigine, John Woo a ouvertement fait de la franchise un spectacle daction tandis que J.J. Abrams a ramené lesprit déquipe qui manquait cruellement dans le deuxième volet. Agissant ici à titre de producteur (de même que Tom Cruise), il laisse la place à Brad Bird. Connu surtout pour son travail danimation chez Pixar (il est le digne réalisateur de Ratatouille et The Incredibles), le cinéaste fait ici le saut à la fiction. Contrairement à Andrew Stanton qui a complètement raté ce passage de lanimation à la fiction cette année avec John Carter, Bird accouche dune uvre explosive et dispendieuse.
uvre sur une équipe dont lemployeur a dissout toute existence et toute trace, Ghost Protocol veut nous faire assister à la renaissance de cette équipe qui doit racheter sa confiance et son innocence à travers un complot de fin du monde. Entrant en cohérence avec ses uvres pixariennes, le film de Bird exploite encore une fois la thématique du mouton noir qui doit exposer un respect public à partir dune construction qui évolue dans le secret. Cen était de même pour le rat qui convoitait le titre de chef cuisinier dans un chic restaurant de Paris ainsi que pour les membres de la famille Parr qui avaient vu leur rôle de super héros renaître suite à une sévère condamnation de lopinion populaire.
Ghost Protocol expose également le talent de metteur en scène de Bird en ce qui a trait aux séquences daction. La plus mémorable et la plus excitante est évidemment celle de plus de trente minutes qui débute par une ascension de Burf Khalifa, la tour de Dubaï et qui se termine par une folle poursuite dans le désert. Tout cela entrecoupé par un intense et habile « faux échange » qui se déroule sur deux étages simultanément à lintérieur même de la tour. Sinon, les poursuites de voiture (dont une séquence finale se déroulant dans un stationnement !), lutilisation de gadgets et dune technologie avancée, les combats violents ainsi que des moments de pures tensions sont, en plus de délicieux clins dil aux trois précédents films, ce qui définit le film. Bien avant son intrigue somme toute relativement simple qui sert de fil conducteur, ce sont ces séquences daction qui définissent davantage Ghost Protocol.
À ce titre, Brad Bird suit plutôt la tendance quavait choisie J.J. Abrams dans Mission : Impossible III en se concentrant à la fois sur lintrigue et laction, mais aussi sur les personnages. Lidée déquipe demeure ici à lavant-plan malgré légo démesuré de Cruise qui le fait de tous les plans. Ethan Hunt prend aussi un peu plus de profondeur grâce à un dénouement étonnant et relativement émouvant qui donne un tout nouveau sens au titre.
Ghost Protocol, en plus de deux heures, réussit lexploit de divertir, de tenir en haleine et de surprendre. Rejoignant le troisième opus, luvre est moins lourde que le volet de John Woo et moins complexe que celle de De Palma. Désormais une entreprise mercantile bien avant autre chose, Mission : Impossible demeure un divertissement de qualité. Grâce à des cinéastes expérimentés et inspirés comme Brad Bird, elle peut sans complexe se classer au-dessus de la mêlée.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.40:1 à une résolution de 1080p.
Assurément un transfert qui frôlera la référence cette année. La matériel source est impeccablement présenté offrant une qualité d'image de haut niveau. Textures et détails sont reproduits avec finesse alors que les couleurs font preuve de richesse, de nuance et de précision. Limage affiche ainsi justesse et brillance. Les tons de peaux demeurent naturels tandis que les effets de surbrillance sont évités grâce à un contraste parfaitement géré. Les parties sombres sont reproduites dans toute leur splendeur grâce à des dégradés fluides et précis. Une mention également pour les tons de gris nuancés et précis. Ce sont des noirs purs et profonds qui complètent ce remarquable transfert.
La partie numérique se sauve de tout défaut majeur apparent.
Son
Quatre bandes-son se retrouvent sur cette édition. Trois au format Dolby Digital 5.1 en version française, espagnole et portugaise ainsi quune disponible en version originale française au format Dolby TrueHD 7.1.
À limage du transfert vidéo, le mixage TrueHD 7.1 saura tester les limites de votre équipement (ainsi que la patience vos voisins). Nous somme dans le pur film daction; il ny a aucune surprise à constater le rendu dynamique, excitant et enlevant de ce mixage. Précision et immersion sont assurément les qualificatifs les mieux placés pour mieuz résumer cette bande-sonore. Naturellement, cela est en grande partie aussi dû à lexploitation judicieuse et habile du potentiel multicanal. Les effets dambiophonie sont particulièrement saisissants et permettre une parfaite immersion. Les ouverture frontale et latérale servent à la majorité des éléments sonores. À travers cela, il y a un juste mariage entre les séquences plus en retrait où les dialogues demeurent constamment et parfaitement intelligibles. La trame sonore (annoncée dès le générique avec le classique thème de la série) est intégrée parfaitement au mixage et profite du support des basses fréquences. Profondes et puissantes, elles feront trembler bien des planchers de même que pour le canal dextrêmes graves qui grondent avec une étonnante efficacité.
Des sous-titres anglais, français, espagnols et portugais sont disponibles.
Suppléments/menus
Deux éditions sont disponibles, lune dentre elles exclusivement disponible dans les Best Buy et les Future Shop comprenant un disque complet de suppléments. Lautre « standard » comporte un condensé de ces suppléments.
Pour les suppléments présents sur les deux éditions, nous retrouvons dabord « Mission Accepted : Heating Up In Dubai (17:36) » un segment qui propose de sattarder aux travail des cascadeurs. On y vante aussi beaucoup la beauté du paysage de la ville de Dubaï de même que les avantages dy tourner plusieurs séquences. « Mission Accepted : Vancouver Fisticuffs (12:01) » est un segment (trop) court qui faire un rapide survol du tournage de quelques scènes à Vancouver. « Impossible Missions : The Sandstorm (3:06) » se situe dans la même lignée et propose de jeter un expéditif coup dil au travail fou (deux semaines !) pour la séquence de la tempête de sable. Nous avons enfin « Impossible Missions : Props (3 :07) » qui pose un regard sur les gadgets du film. Trop court, trop en surface, encore une fois.
Viennent ensuite huit scènes supprimées dont une version alternative de la séquence douverture. Inégales, elles valent néanmoins le détour ne serait-ce que pour les commentaires audio du réalisateur Brad Bird qui sont disponibles.
Sur lédition exclusive, nous retrouvons en plus de ces segments, dix autres qui complètent un regard un peu trop sommaire, mais néanmoins complet sur les diverses parties de production du film (pré-production, production, post-production). « Suiting Up in Prague (17:58) » est le segment se rapprochant le plus du typique documentaire « making of » avec des interventions de la distribution, des producteurs (J.J. Abrams en tête) et de Brad Bird le cinéaste. Il sagit assurément du plus intéressant et « complet » des segments.
« Impossible Missions : The Russian Prison (11:49) » sattarde sur la séquence du début où Ethan Hunt se fait évader de la prison. Le travail danimation de Bird sera ici mis à profit puisque que, fait intéressant, il est passé de lanimation à la fiction réelle pour élaborer cette séquence. « Impossible Missions : Shooting in IMAX (3 :33) » se concentre sur les possibilités et les avantages de filmer en IMAX alors que « Impossible Missions : Art Department (2:56) » démystifie lidée dauthenticité lorsque les artisans nous révèlent comment ils ont fait passer Prague pour une ville de Russie. « Impossible Missions : A Roll of Film (2:33) » enseigne la post-production dun film pendant que « Impossible Missions : Life Masks (1:40) » parle du principe des masques, si cher à la série. Nous retrouvons aussi « Impossible Missions : Stepping Into the Storm (2:02) » un essai pour la séquence dans le désert et « Impossible Missions : Dubai Car Crash (8 :15) » un retour précis sur la création calculée de la séquence de poursuite en voiture dans le désert. Enfin, « Impossible Missions : Lens on the Burj (0 :57) » revient sur la séquence filmée à Burf Khalifa, la tour de Dubaï et « Impossible Missions : Composer (10 :42) » pose un regard sur le travail du compositeur Michael Giacchino, fidèle partenaire de J.J. Abrams.
Deux bandes-annonces du film sont aussi présentes pour cette riche et complète section.
Conclusion
Film daction dune efficacité redoutable, Mission : Impossible Ghost Protocol est un digne divertissement. Profitant du talent du réalisateur Brad Bird et de la légèreté de J.J. Abrams (quil avait agréablement apporté lors du troisième volet), le long-métrage réussit à mener une intrigue suffisamment excitante et des séquences daction souvent renversantes (nous penserons évidemment à la séquence de plus de trente minutes à Dubaï).
Lédition est techniquement époustouflante. Le transfert vidéo est riche et précis alors que le mixage Dolby TrueHD 7.1 est carrément hallucinant. Pour les fans, lédition exclusive en vente chez Best Buy est recommandée pour la simple et unique raison quelle inclut plus dune heure de supplément supplémentaire à lédition « standard » qui offre un maigre condensé de ce qui constitue un survol très complet de la production du film.
Qualité vidéo:
4,7/5
Qualité audio:
4,7/5
Suppléments:
4,0/5
Rapport qualité/prix:
4,1/5
Note finale:
4,2/5
Auteur: Frédéric Bouchard
Date de publication: 2012-06-03
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur LG 37LG30, Lecteur Blu-Ray Sony (BDPS350), Récepteur JVC TH-A30
Date de publication: 2012-06-03
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur LG 37LG30, Lecteur Blu-Ray Sony (BDPS350), Récepteur JVC TH-A30