Boy Meets World (The Complete Second Season)

Critique
Synopsis/présentation
Une année a passé et Cory (Ben Savage) se retrouve maintenant dans le monde infernal de lécole secondaire. Accompagné par ses amis Shawn (Rider Strong) et Topanga (Danielle Fishel), Cory découvre les difficultés de sintégrer à un nouveau milieu. Malheureusement, ce ne sont pas que des amis qui suivent Cory dans son nouvel environnement puisque certains élèves (Danny MacNulty, Blake Soper et Ethan Suplee) se font un devoir dintimider les autres. Évidemment, Cory peut toujours demander conseil à son voisin et enseignant devenu directeur, M. Feeny (William Daniels) ou à sa famille qui est toujours là pour lui.
Diffusée en 1994 et 1995, cette deuxième saison comporte 23 épisodes.
Image
Lémission est présenté au format dimage respecté de télédiffusion de 1.33:1 daprès un transfert 4:3.
Grosso modo, le transfert produit pour cette deuxième saison ressemble beaucoup à celui de la première. Peu de parasites entachent limage, mais lorsque présents, ils sont particulièrement évidents. La définition générale est loin dêtre optimale, ce qui est en partie causé par lâge du matériel source et le taux élevé de compression. Par conséquent, les textures manquent de précision et de nombreux plans paraissent flous. Le niveau de détails sen voit également affecté. Le rendu des couleurs souffre également de lâge du matériel source. La palette semble délavée, pâlotte et manque de saturation. Le niveau de noir tend à fluctuer, variant d'intensité. Les dégradés n'ont pas toujours la fluidité voulu et bloquent souvent prématurément. Les noirs sont purs, mais manquent de profondeur.
Côté numérique, ce nest guère mieux. Les traces de compression abondent, souvent sous la forme de fourmillement.
Son
À linstar de la première saison, le seul mixage offert consiste en la version originale anglais au format Dolby 2.0 Surround. Des pistes de commentaires audio et/ou vidéo sont disponibles pour cinq épisodes.
Comme plusieurs séries télévisées, le dynamique nest évidemment pas la force du mixage. Puisque que tout lintérêt de la série repose sur les dialogues, le mixage est concentré sur les canaux avants. Les enceintes arrières ne servent quà reproduire la musique thème de la série, strictement rien dautre. Les dialogues sont toujours nets et intelligibles. Les rires préenregistrés ne masquent jamais les dialogues, contrairement à dautres séries. Les basses sont anecdotiques, pour ne pas dire absentes.
Les seuls sous-titres disponibles sont anglais.
Suppléments/menus
Conclusion
Cette deuxième saison de Boy Meets World présente de nouvelles situations et conflits, mais la véritable amélioration consiste en le jeu des acteurs. Le fait davoir travaillé une saison complète avec les mêmes gens aura certainement permis aux acteurs de se familiariser avec les uns les autres.
Techniquement, cest typique des séries télévisées de lépoque. Limage affiche quelques défauts, en majeure partie imputable au matériel source. Le mixage, quant à lui, se veut strictement fonctionnel. Les suppléments sont intéressants, mais trop peu nombreux.
Une année a passé et Cory (Ben Savage) se retrouve maintenant dans le monde infernal de lécole secondaire. Accompagné par ses amis Shawn (Rider Strong) et Topanga (Danielle Fishel), Cory découvre les difficultés de sintégrer à un nouveau milieu. Malheureusement, ce ne sont pas que des amis qui suivent Cory dans son nouvel environnement puisque certains élèves (Danny MacNulty, Blake Soper et Ethan Suplee) se font un devoir dintimider les autres. Évidemment, Cory peut toujours demander conseil à son voisin et enseignant devenu directeur, M. Feeny (William Daniels) ou à sa famille qui est toujours là pour lui.
Diffusée en 1994 et 1995, cette deuxième saison comporte 23 épisodes.
Image
Lémission est présenté au format dimage respecté de télédiffusion de 1.33:1 daprès un transfert 4:3.
Grosso modo, le transfert produit pour cette deuxième saison ressemble beaucoup à celui de la première. Peu de parasites entachent limage, mais lorsque présents, ils sont particulièrement évidents. La définition générale est loin dêtre optimale, ce qui est en partie causé par lâge du matériel source et le taux élevé de compression. Par conséquent, les textures manquent de précision et de nombreux plans paraissent flous. Le niveau de détails sen voit également affecté. Le rendu des couleurs souffre également de lâge du matériel source. La palette semble délavée, pâlotte et manque de saturation. Le niveau de noir tend à fluctuer, variant d'intensité. Les dégradés n'ont pas toujours la fluidité voulu et bloquent souvent prématurément. Les noirs sont purs, mais manquent de profondeur.
Côté numérique, ce nest guère mieux. Les traces de compression abondent, souvent sous la forme de fourmillement.
Son
À linstar de la première saison, le seul mixage offert consiste en la version originale anglais au format Dolby 2.0 Surround. Des pistes de commentaires audio et/ou vidéo sont disponibles pour cinq épisodes.
Comme plusieurs séries télévisées, le dynamique nest évidemment pas la force du mixage. Puisque que tout lintérêt de la série repose sur les dialogues, le mixage est concentré sur les canaux avants. Les enceintes arrières ne servent quà reproduire la musique thème de la série, strictement rien dautre. Les dialogues sont toujours nets et intelligibles. Les rires préenregistrés ne masquent jamais les dialogues, contrairement à dautres séries. Les basses sont anecdotiques, pour ne pas dire absentes.
Les seuls sous-titres disponibles sont anglais.
Suppléments/menus
Conclusion
Cette deuxième saison de Boy Meets World présente de nouvelles situations et conflits, mais la véritable amélioration consiste en le jeu des acteurs. Le fait davoir travaillé une saison complète avec les mêmes gens aura certainement permis aux acteurs de se familiariser avec les uns les autres.
Techniquement, cest typique des séries télévisées de lépoque. Limage affiche quelques défauts, en majeure partie imputable au matériel source. Le mixage, quant à lui, se veut strictement fonctionnel. Les suppléments sont intéressants, mais trop peu nombreux.
Qualité vidéo:
3,2/5
Qualité audio:
3,4/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,5/5
Note finale:
3,4/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2005-02-16
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2005-02-16
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700