Anchorman: The Legend of Ron Burgundy - Unrated, Uncut & Uncalled For!(format d'image respecté)

Critique
Synopsis/présentation
Ron Burgundy (Will Ferrell) est le lecteur de nouvelle le plus populaire de San Diego. Comme si la concurrence des autres chaînes de télévision nétait pas assez, voilà que Ron doit maintenant rivaliser avec une nouvelle journaliste ambitieuse (Christina Applegate) qui rêve de devenir lectrice de nouvelles. Dans un monde macho et patriarcal, Ron est à laise. Mais le vent du changement souffle...
Dans ce film, plusieurs vedettes ayant travaillé avec Will Ferrell ou lun avec lautre font une subtile apparition (certaines non créditées): Ben Stiller, Vince Vaughn, Luke Wilson, Tim Robbins, Jack Black, Missi Pyle. Une autre clique semble se former dans le petit monde des comédies hollywodiennes...
Notez que lédition critiquée ici consiste en une version dite non censurée, qui en fait, najoute que très peu de séquences au montage original. Quelques blagues ici et là, donc rien de bien majeur.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9 qui nest malheureusement pas à la hauteur des autres parutions de DreamWorks.
Linterpositif utilisé naffiche aucun parasite sous une forme ou une autre. Par contre, la définition générale de limage déçoit quelque peu où souvent le rendu final parait un peu doux. Le niveau de détails sen voit évidemment affecter tandis que le textures n'ont pas toujours les subtilités voulues. Les couleurs sont reproduites correctement. On ne note pas de sursaturation ou de débordements. Les tons de peau sont également bien reproduits, sans dominante incontrôlée. Les noirs sont correctement ajustés, alors que les contrastes évitent toute surbrillance. Les dégradés sont fluides et ne causent aucun problème, tout comme les noirs qui sont profonds et purs.
Quelques défauts numériques apparaissent tout au long du film. Un halo est parfois visible, celui-ci étant causé par une suraccentuation des contours trop poussée. Un certain fourmillement est également notable par moments.
Son
La bande sonore originale anglaise est offerte au format Dolby Digital 5.1 et Dolby 2.0 Surround. Pour le doublage français (européen), cest à un mixage Dolby Digital 5.1 que nous avons droits. Une piste de commentaires audio, animée par lacteur Will Ferrell et le réalisateur Adam McKay, est également disponible.
Les comédies ont rarement lhabitude de profiter pleinement des mixages 5.1 et Anchorman ne fait pas exception à la règle. La spatialité nest que très peu exploitée, limitant lusage des canaux arrières à de rares sons dambiance. Ainsi, le mixage met beaucoup plus lemphase sur le champ sonore avant. Les dialogues sont nets et intelligibles, ce qui est primordial puisque le film repose sur ceux-ci. La trame sonore est bien rendue et profite du mixage 5.1 pour se faire entendre des canaux arrières. Les basses sont à peine mises en valeur et le canal dédié aux extrêmes graves (.1) ne se fait pratiquement jamais entendre.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles pour accompagner le film, ainsi que certains suppléments (incluant la piste de commentaires audio). Dautres sous-titres, seulement en français ceux-là, traduisent les écriteaux.
Suppléments/menus
Conclusion
Sans véritable originalité, Will Ferrell offre encore une fois une prestation dun homme immature qui accepte difficilement le changement. Ceci étant dit, si chaque acteur a un rôle fait pour lui, Ferrell a définitivement trouvé le sien. Et puisque cette formule semble fonctionner, lacteur na aucune raison de varier son répertoire.
Techniquement, cest plutôt décevant de la part de Dreaworks. Limage est loin dêtre à la hauteur des récents transferts pour un film de cette envergure et le mixage sonore, bien que fonctionnel, ne profite pas du plein potentiel mis à sa disposition. Les suppléments sont nombreux et divertissants.
Ron Burgundy (Will Ferrell) est le lecteur de nouvelle le plus populaire de San Diego. Comme si la concurrence des autres chaînes de télévision nétait pas assez, voilà que Ron doit maintenant rivaliser avec une nouvelle journaliste ambitieuse (Christina Applegate) qui rêve de devenir lectrice de nouvelles. Dans un monde macho et patriarcal, Ron est à laise. Mais le vent du changement souffle...
Dans ce film, plusieurs vedettes ayant travaillé avec Will Ferrell ou lun avec lautre font une subtile apparition (certaines non créditées): Ben Stiller, Vince Vaughn, Luke Wilson, Tim Robbins, Jack Black, Missi Pyle. Une autre clique semble se former dans le petit monde des comédies hollywodiennes...
Notez que lédition critiquée ici consiste en une version dite non censurée, qui en fait, najoute que très peu de séquences au montage original. Quelques blagues ici et là, donc rien de bien majeur.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9 qui nest malheureusement pas à la hauteur des autres parutions de DreamWorks.
Linterpositif utilisé naffiche aucun parasite sous une forme ou une autre. Par contre, la définition générale de limage déçoit quelque peu où souvent le rendu final parait un peu doux. Le niveau de détails sen voit évidemment affecter tandis que le textures n'ont pas toujours les subtilités voulues. Les couleurs sont reproduites correctement. On ne note pas de sursaturation ou de débordements. Les tons de peau sont également bien reproduits, sans dominante incontrôlée. Les noirs sont correctement ajustés, alors que les contrastes évitent toute surbrillance. Les dégradés sont fluides et ne causent aucun problème, tout comme les noirs qui sont profonds et purs.
Quelques défauts numériques apparaissent tout au long du film. Un halo est parfois visible, celui-ci étant causé par une suraccentuation des contours trop poussée. Un certain fourmillement est également notable par moments.
Son
La bande sonore originale anglaise est offerte au format Dolby Digital 5.1 et Dolby 2.0 Surround. Pour le doublage français (européen), cest à un mixage Dolby Digital 5.1 que nous avons droits. Une piste de commentaires audio, animée par lacteur Will Ferrell et le réalisateur Adam McKay, est également disponible.
Les comédies ont rarement lhabitude de profiter pleinement des mixages 5.1 et Anchorman ne fait pas exception à la règle. La spatialité nest que très peu exploitée, limitant lusage des canaux arrières à de rares sons dambiance. Ainsi, le mixage met beaucoup plus lemphase sur le champ sonore avant. Les dialogues sont nets et intelligibles, ce qui est primordial puisque le film repose sur ceux-ci. La trame sonore est bien rendue et profite du mixage 5.1 pour se faire entendre des canaux arrières. Les basses sont à peine mises en valeur et le canal dédié aux extrêmes graves (.1) ne se fait pratiquement jamais entendre.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles pour accompagner le film, ainsi que certains suppléments (incluant la piste de commentaires audio). Dautres sous-titres, seulement en français ceux-là, traduisent les écriteaux.
Suppléments/menus
Conclusion
Sans véritable originalité, Will Ferrell offre encore une fois une prestation dun homme immature qui accepte difficilement le changement. Ceci étant dit, si chaque acteur a un rôle fait pour lui, Ferrell a définitivement trouvé le sien. Et puisque cette formule semble fonctionner, lacteur na aucune raison de varier son répertoire.
Techniquement, cest plutôt décevant de la part de Dreaworks. Limage est loin dêtre à la hauteur des récents transferts pour un film de cette envergure et le mixage sonore, bien que fonctionnel, ne profite pas du plein potentiel mis à sa disposition. Les suppléments sont nombreux et divertissants.
Qualité vidéo:
3,7/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,6/5
Note finale:
3,6/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2005-01-24
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2005-01-24
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700