Envy

Critique
Synopsis/présentation
Tim Dingman (Ben Stiller) et Nick Vanderpark (Jack Black) sont des amis de longue date, mais quand Nick offre à Tim dinvestir dans sa toute dernière invention, ce dernier refuse. Malheureusement pour lui, lidée de Nick, un vaporisateur éliminant les excréments des animaux, savère être un immense succès qui rend son inventeur très riche. Évidemment, ceci rend Tim particulièrement jaloux et celui-ci voudrait bien profiter de la fortune de son ami.
Filmé à lété 2002, Envy a passé près de deux ans sur les tablettes de Dreamworks avant de paraître dans les salles de cinéma. À sa sortie, le film a été accueilli froidement par le public, mais également par la critique. À Cannes en 2004, lacteur Jack Black et un des responsables de Dreamworks, Jeffrey Katzenberg, se sont même excusés davoir participé à la création de ce film. Un comportement exagéré?
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Un transfert recadré au format 1.33:1 (transfert 4:3) est également inclus.
Linterpositif utilisé est propre et ne montre aucun parasite. Le niveau de détails est excellent, sans être optimal. Les textures sont correctement rendues, sans plus. La palette, riche et vive, est reproduite de façon impeccable, sans débordement ou sursaturation. Les couleurs ne fluctuent jamais et conservent une apparence naturelle, sauf lorsque limage est volontairement stylisée. Les tons de peau paraissent également naturels. Le niveau de noirs (brillance) est correctement ajusté, alors que les contrastes sont bien gérés, évitant toute surbrillance. Les dégradés sont fluides et ne bloquent que très rarement. Les noirs sont profonds et purs.
Bien que les deux transferts soient disponibles sur la même face de ce DVD-9, les défauts de compression sont relativement peu nombreux. Un léger halo est parfois visible, mais celui-ci est peu intrusif. Outre ceci, le seul autre problème consiste en un fourmillement notable à quelques reprises.
Son
Deux bandes sonores Dolby Digital 5.1 sont disponibles: La première consistant de la version originale anglaise et lautre un doublage français (européen).
À linstar de plusieurs comédies, le mixage mise essentiellement sur les dialogues. Le champ sonore se développe principalement des enceintes avant, à quelques rares momente les canaux arrières sont mis à contribution. La spatialité est très peu développée. Le dynamisme du mixage est également plutôt limité. La force de ce mixage consiste en ses dialogues, toujours nets et intelligibles, sans problèmes de captation. Même les chuchotements demeurent parfaitement audibles. La trame sonore ne profite malheureusement pas du plein potentiel du 5.1, se déployant des canaux avants. À défaut d'être enveloppante, la musique est rendue avec fidélité. Les basses ne sont pas nécessairement en force, mais supportent correctement le mixage. Les extrêmes graves sont tout simplement absentes, mis à part pour deux ou trois moments.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Envy nest certainement pas le meilleur travail de Ben Stiller, Jack Black ou Barry Levinson, mais le film ne devrait pas être jugé aussi sévèrement. C'est un simple divertissement, comme la machine hollywoodienne en produit des centaines chaque année...
Techniquement, cest un produit dans les normes que nous offre DreamWorks, mais sans plus. Limage est de qualité, avec seulement quelques petits défauts peu notables. Par contre, le mixage sonore est sans vie et trop axé sur les canaux avants. Côté suppléments, personne ne semble avoir voulue élaborer sur ce film: aucun segment ou commentaires audio.
Tim Dingman (Ben Stiller) et Nick Vanderpark (Jack Black) sont des amis de longue date, mais quand Nick offre à Tim dinvestir dans sa toute dernière invention, ce dernier refuse. Malheureusement pour lui, lidée de Nick, un vaporisateur éliminant les excréments des animaux, savère être un immense succès qui rend son inventeur très riche. Évidemment, ceci rend Tim particulièrement jaloux et celui-ci voudrait bien profiter de la fortune de son ami.
Filmé à lété 2002, Envy a passé près de deux ans sur les tablettes de Dreamworks avant de paraître dans les salles de cinéma. À sa sortie, le film a été accueilli froidement par le public, mais également par la critique. À Cannes en 2004, lacteur Jack Black et un des responsables de Dreamworks, Jeffrey Katzenberg, se sont même excusés davoir participé à la création de ce film. Un comportement exagéré?
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Un transfert recadré au format 1.33:1 (transfert 4:3) est également inclus.
Linterpositif utilisé est propre et ne montre aucun parasite. Le niveau de détails est excellent, sans être optimal. Les textures sont correctement rendues, sans plus. La palette, riche et vive, est reproduite de façon impeccable, sans débordement ou sursaturation. Les couleurs ne fluctuent jamais et conservent une apparence naturelle, sauf lorsque limage est volontairement stylisée. Les tons de peau paraissent également naturels. Le niveau de noirs (brillance) est correctement ajusté, alors que les contrastes sont bien gérés, évitant toute surbrillance. Les dégradés sont fluides et ne bloquent que très rarement. Les noirs sont profonds et purs.
Bien que les deux transferts soient disponibles sur la même face de ce DVD-9, les défauts de compression sont relativement peu nombreux. Un léger halo est parfois visible, mais celui-ci est peu intrusif. Outre ceci, le seul autre problème consiste en un fourmillement notable à quelques reprises.
Son
Deux bandes sonores Dolby Digital 5.1 sont disponibles: La première consistant de la version originale anglaise et lautre un doublage français (européen).
À linstar de plusieurs comédies, le mixage mise essentiellement sur les dialogues. Le champ sonore se développe principalement des enceintes avant, à quelques rares momente les canaux arrières sont mis à contribution. La spatialité est très peu développée. Le dynamisme du mixage est également plutôt limité. La force de ce mixage consiste en ses dialogues, toujours nets et intelligibles, sans problèmes de captation. Même les chuchotements demeurent parfaitement audibles. La trame sonore ne profite malheureusement pas du plein potentiel du 5.1, se déployant des canaux avants. À défaut d'être enveloppante, la musique est rendue avec fidélité. Les basses ne sont pas nécessairement en force, mais supportent correctement le mixage. Les extrêmes graves sont tout simplement absentes, mis à part pour deux ou trois moments.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Envy nest certainement pas le meilleur travail de Ben Stiller, Jack Black ou Barry Levinson, mais le film ne devrait pas être jugé aussi sévèrement. C'est un simple divertissement, comme la machine hollywoodienne en produit des centaines chaque année...
Techniquement, cest un produit dans les normes que nous offre DreamWorks, mais sans plus. Limage est de qualité, avec seulement quelques petits défauts peu notables. Par contre, le mixage sonore est sans vie et trop axé sur les canaux avants. Côté suppléments, personne ne semble avoir voulue élaborer sur ce film: aucun segment ou commentaires audio.
Qualité vidéo:
3,8/5
Qualité audio:
3,5/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,6/5
Note finale:
3,7/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2004-12-01
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2004-12-01
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700