Lateline (The Complete Series)

Critique
Synopsis/présentation
Après vingt ans en tant quauteur pour Saturday Night Live, Al Franken quitte la célèbre émission pour se lancer en solo. Son premier projet, LateLine naura durée quune seule saison, deux de ses épisodes nont jamais été diffusés.
La série se déroule dans la salle de rédaction dune émission d'affaires publiques télévisée de Washington, où nous retrouvons un lecteur de nouvelles, Pearce McKenzie (Robert Foxworth), manipulateur et égocentrique. Vient ensuite la productrice, Gale Ingersoll (Megyn Price), ambitieuse et brillante, mais souvent sous-estimée. Finalement, il y a Al Freundlich (le créateur en personne, Al Franken), qui agit dans cette salle de rédaction comme lidiot du village. Cest avec humour que tous les sujets sont abordés et lémission profite de la participation de plusieurs célébrités: Martin Sheen, Vanessa Williams, Conan OBrien, Kathie Lee Gifford, Andy Richter, Dana Carvey, lastronaute Jim Lovell, Michael McKean, Regis Philbin et plusieurs autres.
Image
La série est présentée au format dimage original de télédiffusion de 1.33:1 daprès un transfert 4:3.
Après cinq ans, le matériel source a conservé toutes ses qualités. Aucun parasite (ou tache) nest visible. La définition générale est bonne, supérieure à plusieurs autres séries télévisées disponibles en format DVD. Le niveau de détails est adéquat, mais les textures nont pas toute la définition voulue. Le rendu des couleurs est tout simplement impeccables. Riche et parfaitement saturée, la palette est reproduite sans défauts. Aucun débordement ou débalancement chromatique nest visible. Les tons de peau paraissent naturels et justes. Le niveau des noirs est correctement ajusté et le contraste bien géré, évitant toute surbrillance. Les dégradés paraissent fluides et ne bloquent pratiquement jamais, alors que les noirs sont profonds et purs.
Chaque disque contient six ou sept épisodes, mais puisque ceux-ci ne durent que 22 minutes, on a eu amplement d'espace pour ne pas trop pousser la compression. Un léger miroitement est parfois visible, mais peu intrusif. Par contre, un halo est notable à la limite des hauts contrastes.
Son
Une seule bande sonore est offerte, celle-ci consistant de la version originale anglaise au format Dolby 2.0 Surround. Aucun doublage ou piste de commentaires audio nest disponible.
Voici un mixage typique des comédies télévisées: une dynamique moyenne et une spatialité en retrait. Malgré un mixage au format Dolby 2.0 Surround, le seul élément sonore qui profite vraiment des canaux arrières est la musique qui marque le début de chaque épisode, rien de plus. Même les rires sont confinés aux canaux avants. Évidemment, pour une telle série, limportance a été mise sur les dialogues. À ce niveau, le mixage joue son rôle. Les paroles sont en tout temps nets et intelligibles, sans problème de captation quel quil soit. Les dialogues sont reproduits de façon naturelle et on dénote la présence daucun parasite sonore. La musique est peu présente dans cette série, si ce nest que pour le thème de lémission en question. Cest donc sans grande surprise que le mixage laisse peu de place à la trame sonore, souvent en retrait. Les basses sont bien rendues, bien que très peu mises en valeur.
Les seuls sous-titres inclus sont en anglais (CC).
Suppléments/menus
Conclusion
Avec LateLine, côté originalité, on repassera. La plupart des thèmes abordés dans cette série ont déjà fait lobjet de maintes parodies. De plus, les sujets en question étaient souvent dactualité au moment du tournage (1998-1999) et sont donc hors contexte de nos jours. Par contre, la force de cette émission réside dans son écriture grandement influencée par le passage de Al Franken à Saturday Night Live.
Techniquement, du bon travail de la part de Paramount. Limage est de tout premier ordre pour une série télévisée qui, disons-le, na pas eu un très grand succès. Le mixage sonore est typique pour ce genre démission, rien de problématique. Malheureusement, la partie supplément de cette édition a été négligée, noffrant strictement rien.
Après vingt ans en tant quauteur pour Saturday Night Live, Al Franken quitte la célèbre émission pour se lancer en solo. Son premier projet, LateLine naura durée quune seule saison, deux de ses épisodes nont jamais été diffusés.
La série se déroule dans la salle de rédaction dune émission d'affaires publiques télévisée de Washington, où nous retrouvons un lecteur de nouvelles, Pearce McKenzie (Robert Foxworth), manipulateur et égocentrique. Vient ensuite la productrice, Gale Ingersoll (Megyn Price), ambitieuse et brillante, mais souvent sous-estimée. Finalement, il y a Al Freundlich (le créateur en personne, Al Franken), qui agit dans cette salle de rédaction comme lidiot du village. Cest avec humour que tous les sujets sont abordés et lémission profite de la participation de plusieurs célébrités: Martin Sheen, Vanessa Williams, Conan OBrien, Kathie Lee Gifford, Andy Richter, Dana Carvey, lastronaute Jim Lovell, Michael McKean, Regis Philbin et plusieurs autres.
Image
La série est présentée au format dimage original de télédiffusion de 1.33:1 daprès un transfert 4:3.
Après cinq ans, le matériel source a conservé toutes ses qualités. Aucun parasite (ou tache) nest visible. La définition générale est bonne, supérieure à plusieurs autres séries télévisées disponibles en format DVD. Le niveau de détails est adéquat, mais les textures nont pas toute la définition voulue. Le rendu des couleurs est tout simplement impeccables. Riche et parfaitement saturée, la palette est reproduite sans défauts. Aucun débordement ou débalancement chromatique nest visible. Les tons de peau paraissent naturels et justes. Le niveau des noirs est correctement ajusté et le contraste bien géré, évitant toute surbrillance. Les dégradés paraissent fluides et ne bloquent pratiquement jamais, alors que les noirs sont profonds et purs.
Chaque disque contient six ou sept épisodes, mais puisque ceux-ci ne durent que 22 minutes, on a eu amplement d'espace pour ne pas trop pousser la compression. Un léger miroitement est parfois visible, mais peu intrusif. Par contre, un halo est notable à la limite des hauts contrastes.
Son
Une seule bande sonore est offerte, celle-ci consistant de la version originale anglaise au format Dolby 2.0 Surround. Aucun doublage ou piste de commentaires audio nest disponible.
Voici un mixage typique des comédies télévisées: une dynamique moyenne et une spatialité en retrait. Malgré un mixage au format Dolby 2.0 Surround, le seul élément sonore qui profite vraiment des canaux arrières est la musique qui marque le début de chaque épisode, rien de plus. Même les rires sont confinés aux canaux avants. Évidemment, pour une telle série, limportance a été mise sur les dialogues. À ce niveau, le mixage joue son rôle. Les paroles sont en tout temps nets et intelligibles, sans problème de captation quel quil soit. Les dialogues sont reproduits de façon naturelle et on dénote la présence daucun parasite sonore. La musique est peu présente dans cette série, si ce nest que pour le thème de lémission en question. Cest donc sans grande surprise que le mixage laisse peu de place à la trame sonore, souvent en retrait. Les basses sont bien rendues, bien que très peu mises en valeur.
Les seuls sous-titres inclus sont en anglais (CC).
Suppléments/menus
Conclusion
Avec LateLine, côté originalité, on repassera. La plupart des thèmes abordés dans cette série ont déjà fait lobjet de maintes parodies. De plus, les sujets en question étaient souvent dactualité au moment du tournage (1998-1999) et sont donc hors contexte de nos jours. Par contre, la force de cette émission réside dans son écriture grandement influencée par le passage de Al Franken à Saturday Night Live.
Techniquement, du bon travail de la part de Paramount. Limage est de tout premier ordre pour une série télévisée qui, disons-le, na pas eu un très grand succès. Le mixage sonore est typique pour ce genre démission, rien de problématique. Malheureusement, la partie supplément de cette édition a été négligée, noffrant strictement rien.
Qualité vidéo:
3,9/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,6/5
Note finale:
3,7/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2004-09-22
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2004-09-22
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700