Man with One Red Shoe, The

Critique
Synopsis/présentation
Basé sur le film français Le grand blond avec une chaussure noire de Francis Veber et Yves Robert, The Man with One Red Shoe raconte la folle histoire d'un violonniste confondu pour un agent des milieux du renseignement. Tout débute avec un agent de la CIA qui accuse son directeur de trahison afin de prendre sa place à la tête de ce service despionnage. Pour sa défense, le directeur prétend quun agent inconnu peut prouver son innocence. Cet agent, cest Richard (Tom Hanks), soit lhomme à la chaussure rouge. Il sen suit une chasse à lhomme avec erreur sur la personne
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Un transfert 4:3 recadré au format 1.33:1 est disponible sur la seconde face du disque.
Rien de bien surprenant ici, puisque lâge du film se reflète totalement dans la qualité de ce transfert. Notons, par exemple, quun grain est particulièrement visible. Ajoutons à cela quelques parasites et autres parasites relativement mineurs. La définition générale de limage est bonne, mais loin dêtre à la hauteur des récents transferts. Le niveau de détails est adéquat, mais perd en précision lors de certains plans. Les textures sont correctement reproduites, sans plus. Les couleurs paraissent correctement rendues, sans débordement ou sursaturation. Les tons de peau demeurent également naturels. Au niveau des noirs, rien de négatif à signaler. Les contrastes sont aussi bien gérés. Les dégradés sont fluides, à quelques exceptions près, et mènent vers des noirs profonds et purs.
Labsence totale de suppléments limite les besoins de compression, alors aucun défaut majeur nest notable à ce niveau.
Son
Quatre bandes sonores sont disponibles: Deux mixages anglais (Dolby 2.0 stéréo et Mono) et deux doublages Dolby Mono (français et espagnol).
Pour cette critique, nous parlerons de la bande sonore la plus performante, cest-à-dire celle au format Dolby 2.0 stéréo. Cependant, il importe de préciser que les différences entre celle-ci et le mixage mono sont minimes. Outre la dynamique, qui nimpressionne pas vraiment, notons que les effets stéréophoniques sont maintenus à un minimum. Les dialogues sont nets et intelligibles, mais paraissent souvent trop plats. La trame sonore est également rendue avec un léger manque de fidélité. Un film comme celui-ci est principalement axé sur les dialogues, alors on exige très peu des basses, qui ici, sont satisfaisantes. Bref, il sagit dun mixage tout ce quil y a de plus fonctionnel.
Des sous-titres anglais et espagnols sont disponibles. Comme toujours (ou presque), Fox ninclus aucun sous-titre français.
Suppléments/menus
Conclusion
Basé sur le film français Le grand blond avec une chaussure noire de Francis Veber et Yves Robert, The Man with One Red Shoe raconte la folle histoire d'un violonniste confondu pour un agent des milieux du renseignement. Tout débute avec un agent de la CIA qui accuse son directeur de trahison afin de prendre sa place à la tête de ce service despionnage. Pour sa défense, le directeur prétend quun agent inconnu peut prouver son innocence. Cet agent, cest Richard (Tom Hanks), soit lhomme à la chaussure rouge. Il sen suit une chasse à lhomme avec erreur sur la personne
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Un transfert 4:3 recadré au format 1.33:1 est disponible sur la seconde face du disque.
Rien de bien surprenant ici, puisque lâge du film se reflète totalement dans la qualité de ce transfert. Notons, par exemple, quun grain est particulièrement visible. Ajoutons à cela quelques parasites et autres parasites relativement mineurs. La définition générale de limage est bonne, mais loin dêtre à la hauteur des récents transferts. Le niveau de détails est adéquat, mais perd en précision lors de certains plans. Les textures sont correctement reproduites, sans plus. Les couleurs paraissent correctement rendues, sans débordement ou sursaturation. Les tons de peau demeurent également naturels. Au niveau des noirs, rien de négatif à signaler. Les contrastes sont aussi bien gérés. Les dégradés sont fluides, à quelques exceptions près, et mènent vers des noirs profonds et purs.
Labsence totale de suppléments limite les besoins de compression, alors aucun défaut majeur nest notable à ce niveau.
Son
Quatre bandes sonores sont disponibles: Deux mixages anglais (Dolby 2.0 stéréo et Mono) et deux doublages Dolby Mono (français et espagnol).
Pour cette critique, nous parlerons de la bande sonore la plus performante, cest-à-dire celle au format Dolby 2.0 stéréo. Cependant, il importe de préciser que les différences entre celle-ci et le mixage mono sont minimes. Outre la dynamique, qui nimpressionne pas vraiment, notons que les effets stéréophoniques sont maintenus à un minimum. Les dialogues sont nets et intelligibles, mais paraissent souvent trop plats. La trame sonore est également rendue avec un léger manque de fidélité. Un film comme celui-ci est principalement axé sur les dialogues, alors on exige très peu des basses, qui ici, sont satisfaisantes. Bref, il sagit dun mixage tout ce quil y a de plus fonctionnel.
Des sous-titres anglais et espagnols sont disponibles. Comme toujours (ou presque), Fox ninclus aucun sous-titre français.
Suppléments/menus
Conclusion
Qualité vidéo:
3,6/5
Qualité audio:
3,5/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,6/5
Note finale:
3,6/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2005-11-12
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2005-11-12
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700