Predator (Collector's Edition)

Critique
Synopsis/présentation
L'action se déroule en Amérique centrale alors quun commando américain est envoyé à la rescousse de léquipage dun hélicoptère dont les passagers sont disparus. En arrivant sur les lieux de lincident, Dutch (Schwarzenegger) découvre rapidement que lennemi nest pas celui auquel il sattendait et que son commando est maintenant la cible dune créature extra-terrestre.
Cette créature tarde à montrer son véritable visage, mais une chose est certaine: Elle ne tue pas pour survivre, ni même pour conquérir. Son unique but est daccumuler les trophées de chasse...
Image
Le film est présenté dans son format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Ce transfert est identique à la précédente incarnation de ce film en format DVD.
Tout au long du visionnement, quelques parasites sont visibles, en particulier des points noirs. Ceux-ci sont situés aux mêmes endroits que sur lédition parue en 1998, ce qui laisse croire que le même matériel source a été utilisé. La définition générale est bonne, mais loin dêtre optimale. Le niveau de détails est adéquat et rend bien les subtilités des feuillages et verdures de la fôret. Les textures tendent à se perdre un peu lors des plans densemble. L'étalonnage des couleurs est adéquat, on observe aucun débordement ou sur-saturation de celui-ci. Les verts et bruns de la jungle offrent de belles nuances et paraissent naturels. Les tons de peaux sont également rendus avec justesse, sans dominantes. Le niveau de noirs tend légèrement à fluctuer, limitant occisionellement le niveau de détails. Le contraste est bien géré, ne causant aucun problème. Les dégradés manquent par moments de fluidité et ont tendance à bloquer trop tôt. Les noirs sont profonds et purs.
Mis à part un fréquent fourmillement et la présence de grain, on ne compte heureusement que très peu de problèmes dus à la numérisation du matériel source. Par contre, un léger halo est visible à quelques reprises, mais peu dérangeant.
Le changement de couche survient après 63 minutes et 12 secondes.
Son
En tout, quatre mixages sonores sont offerts. Les deux premiers consistent de la version originale anglaise remixée au format DTS et Dolby Digital 5.1, alors que les deux autres sont des doublages français (Dolby 2.0 Stéréo) et espagnol (Dolby Mono). Une piste de commentaires audio animée par le réalisateur John McTiernan est également disponible.
À linstar du transfert vidéo, les bandes sonores sont essentiellement des réutilisations de celles offertes avec les précédentes éditions DVD de ce film. La spatialité des bandes-son 5.1 nest pas aussi développée que celle des plus récentes productions du genre. Les canaux dambiophonie émettent un son monophonique, c'est-à-dire identique à gauche et à droite. En fait, il s'agit plus d'un son au format 4.1 que 5.1. Les canaux arrières sont utilisés à quelques reprises, à la fois pour la reproduction de son dambiance que pour appuyer le déploiement de la trame sonore. Le champ sonore avant profite dune bonne stéréophonie, notamment pour les dialogues. Quelques transitions canaux à canaux sont audibles, mais peu élaborées. Les dialogues ne sont évidemment pas la force du film et apportent quelques problèmes à ce mixage. De nombreux effets sonores limitent lintelligibilité des dialogues qui, en plus, sont reproduits à un volume inférieur aux effets sonores. La musique dAlan Silvestri profite adéquatement du potentiel du 5.1 en se développant de tous les canaux. Les basses sont bien rendues, mais une utilisation plus appuyée des extrêmes graves (canal .1) aurait donné plus de profondeur au mixage.
Des sous-titres anglais ou espagnols peuvent accompagner le film sur toute sa durée, alors que ceux en français saffichent uniquement pour la traduction des écriteaux. De plus, des sous-titres informatifs (faits, entrevues, ) sont également disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Predator est un film daction pure et dure, sans fioriture et avec un minimum dhistoire. Pour plusieurs, lextra-terrestre du film est lennemi ultime, bien que les créatures dAlien soient aussi voraces. Ce nest pas sans surprise que cette édition spéciale est mise sur le marché, au même moment quAlien vs Predator sort dans les cinémas...
Le transfert vidéo nest pas mauvais, mais loin dêtre à la hauteur des transferts de récentes productions. Pour le son, les mixages nont pas toute la spatialité souhaitée et les dialogues sont parfois difficilement intelligibles. Par contre, la véritable force de cette ré-édition se situe au niveau des suppléments. Ceux-ci sont à la fois nombreux, informatifs et divertissants.
L'action se déroule en Amérique centrale alors quun commando américain est envoyé à la rescousse de léquipage dun hélicoptère dont les passagers sont disparus. En arrivant sur les lieux de lincident, Dutch (Schwarzenegger) découvre rapidement que lennemi nest pas celui auquel il sattendait et que son commando est maintenant la cible dune créature extra-terrestre.
Cette créature tarde à montrer son véritable visage, mais une chose est certaine: Elle ne tue pas pour survivre, ni même pour conquérir. Son unique but est daccumuler les trophées de chasse...
Image
Le film est présenté dans son format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9. Ce transfert est identique à la précédente incarnation de ce film en format DVD.
Tout au long du visionnement, quelques parasites sont visibles, en particulier des points noirs. Ceux-ci sont situés aux mêmes endroits que sur lédition parue en 1998, ce qui laisse croire que le même matériel source a été utilisé. La définition générale est bonne, mais loin dêtre optimale. Le niveau de détails est adéquat et rend bien les subtilités des feuillages et verdures de la fôret. Les textures tendent à se perdre un peu lors des plans densemble. L'étalonnage des couleurs est adéquat, on observe aucun débordement ou sur-saturation de celui-ci. Les verts et bruns de la jungle offrent de belles nuances et paraissent naturels. Les tons de peaux sont également rendus avec justesse, sans dominantes. Le niveau de noirs tend légèrement à fluctuer, limitant occisionellement le niveau de détails. Le contraste est bien géré, ne causant aucun problème. Les dégradés manquent par moments de fluidité et ont tendance à bloquer trop tôt. Les noirs sont profonds et purs.
Mis à part un fréquent fourmillement et la présence de grain, on ne compte heureusement que très peu de problèmes dus à la numérisation du matériel source. Par contre, un léger halo est visible à quelques reprises, mais peu dérangeant.
Le changement de couche survient après 63 minutes et 12 secondes.
Son
En tout, quatre mixages sonores sont offerts. Les deux premiers consistent de la version originale anglaise remixée au format DTS et Dolby Digital 5.1, alors que les deux autres sont des doublages français (Dolby 2.0 Stéréo) et espagnol (Dolby Mono). Une piste de commentaires audio animée par le réalisateur John McTiernan est également disponible.
À linstar du transfert vidéo, les bandes sonores sont essentiellement des réutilisations de celles offertes avec les précédentes éditions DVD de ce film. La spatialité des bandes-son 5.1 nest pas aussi développée que celle des plus récentes productions du genre. Les canaux dambiophonie émettent un son monophonique, c'est-à-dire identique à gauche et à droite. En fait, il s'agit plus d'un son au format 4.1 que 5.1. Les canaux arrières sont utilisés à quelques reprises, à la fois pour la reproduction de son dambiance que pour appuyer le déploiement de la trame sonore. Le champ sonore avant profite dune bonne stéréophonie, notamment pour les dialogues. Quelques transitions canaux à canaux sont audibles, mais peu élaborées. Les dialogues ne sont évidemment pas la force du film et apportent quelques problèmes à ce mixage. De nombreux effets sonores limitent lintelligibilité des dialogues qui, en plus, sont reproduits à un volume inférieur aux effets sonores. La musique dAlan Silvestri profite adéquatement du potentiel du 5.1 en se développant de tous les canaux. Les basses sont bien rendues, mais une utilisation plus appuyée des extrêmes graves (canal .1) aurait donné plus de profondeur au mixage.
Des sous-titres anglais ou espagnols peuvent accompagner le film sur toute sa durée, alors que ceux en français saffichent uniquement pour la traduction des écriteaux. De plus, des sous-titres informatifs (faits, entrevues, ) sont également disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Predator est un film daction pure et dure, sans fioriture et avec un minimum dhistoire. Pour plusieurs, lextra-terrestre du film est lennemi ultime, bien que les créatures dAlien soient aussi voraces. Ce nest pas sans surprise que cette édition spéciale est mise sur le marché, au même moment quAlien vs Predator sort dans les cinémas...
Le transfert vidéo nest pas mauvais, mais loin dêtre à la hauteur des transferts de récentes productions. Pour le son, les mixages nont pas toute la spatialité souhaitée et les dialogues sont parfois difficilement intelligibles. Par contre, la véritable force de cette ré-édition se situe au niveau des suppléments. Ceux-ci sont à la fois nombreux, informatifs et divertissants.
Qualité vidéo:
3,6/5
Qualité audio:
3,5/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,9/5
Note finale:
3,8/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2004-08-17
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2004-08-17
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700