Hidalgo (WS)

Critique
Synopsis/présentation
Basé sur un fait vécu, le film met en scène Frank T. Hopkins (Viggo Mortensen), un cavalier et son cheval Hidalgo, de qui on dit le plus rapide et le plus endurant au monde.
Afin de prouver la supériorité des chevaux arabes, un scheik (Omar Sharif) invite Hopkins à participer à une course de 5000 kilomètres à travers le désert dArabie: locéan de feu. Les faibles paient de leur vie et les vainqueurs sont couronnés de gloire. Larrivée d'Hopkins sème la contreverse; pour sa religion et aussi sa monture, un mustang, qualifiée de sous-race.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
À linstar des récentes productions, linterpositif utilisé ne montre aucun parasite visible, que ce soit des points, égratignures ou autre. La définition générale est optimale, rendant avec précision et subtilité les textures. Limage profite également dun bon niveau de détails, révélant toute la subtilité de la direction artistique et des paysages. La photographie est prétexte à la présentation de paysages spectaculaires: couchés de soleil orangés, pleines désertiques sous un ciel dun bleu parfait et dautres paysages aux couleurs éclatantes. Celles-ci sont reproduites correctement, sans débordement ou sur-saturation. Quelques plans, à la toute fin du film, montrent une image désaturées, pratiquement monochromatique, pour supporter latmosphère dramatique de la séquence.
Le niveau des noirs est correctement ajusté, profitant aux scènes de nuit ou en pénombre. Le contraste ne cause aucun problème, parfaitement géré. Les noirs sont profonds et purs. Les dégradés sont fluides et ne tendent jamais à bloquer.
Laspect numérique de ce transfert nest malheureusement pas sans fautes. Le plus proéminent problème est une sur-accentuation des contours trop poussée, surtout visible dans les hauts-contrastes.
Le changement de couche survient après 80 minutes et 32 secondes.
Son
Quatre bandes sonores sont offertes: Deux anglaises (DTS et Dolby Digital 5.1), une française (Dolby 2.0 Surround) et une espagnole (Dolby 2.0 Surround).
Le mixage produit ici est pleinement immersif, agressif et utilise de façon judicieuse tout lespace sonore.
Les canaux dambiophonie servent à la reproduction de nombreux sons dambiance et effets sonores localisés, quelques transitions canaux à canaux sont aussi audibles. Les enceintes avants profitent dune très bonne stéréophonie, offrant du coup un espace sonore cohérent. Les dialogues sont nets et intelligibles, sans défaut relié à l'enregistrement. La musique très orchestrale de James Newton Howard profite également du potentiel du 5.1 en se déployant de toutes les enceintes. Cette trame sonore est rendue avec puissance et fidélité.
Les basses, très présentes, sont fortes, intenses et bien étalées. Le canal dextrêmes graves (.1/LFE) est utilisé sporadiquement, moins qu'on l'aurait cru pour un film comme celui-ci.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles. Une seconde série de sous-titres, offerte dans les mêmes langues, saffichent automatiquement pour traduire les différents dialogues en langues étrangères (amérindienne, arabe, ).
Suppléments/menus
Conclusion
Réalisé par Joe Jonhston (Jurassic Park III, Jumanji), Hidalgo, comme bon nombre de film mettant en scènes des chevaux, mise sur une photographie très stylisée. Il ne fait aucun doute qu'on a grandement adapté ce fait vécu pour mieux appuyer toutes une gamme d'émotions. Après tout, nous sommes à Hollywood...
Cette édition DVD est d'un bon niveau technique. Limage a comme seul défaut majeur une sur-accentuation trop poussée (halo), comme quoi la certification THX n'est pas gage d'une image au rendu parfait. Le mixage brille par son dynamisme et une utilisation soutenue des canaux d'ambiophonie. Par contre, les suppléments sont peu nombreux et très courts.
Basé sur un fait vécu, le film met en scène Frank T. Hopkins (Viggo Mortensen), un cavalier et son cheval Hidalgo, de qui on dit le plus rapide et le plus endurant au monde.
Afin de prouver la supériorité des chevaux arabes, un scheik (Omar Sharif) invite Hopkins à participer à une course de 5000 kilomètres à travers le désert dArabie: locéan de feu. Les faibles paient de leur vie et les vainqueurs sont couronnés de gloire. Larrivée d'Hopkins sème la contreverse; pour sa religion et aussi sa monture, un mustang, qualifiée de sous-race.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
À linstar des récentes productions, linterpositif utilisé ne montre aucun parasite visible, que ce soit des points, égratignures ou autre. La définition générale est optimale, rendant avec précision et subtilité les textures. Limage profite également dun bon niveau de détails, révélant toute la subtilité de la direction artistique et des paysages. La photographie est prétexte à la présentation de paysages spectaculaires: couchés de soleil orangés, pleines désertiques sous un ciel dun bleu parfait et dautres paysages aux couleurs éclatantes. Celles-ci sont reproduites correctement, sans débordement ou sur-saturation. Quelques plans, à la toute fin du film, montrent une image désaturées, pratiquement monochromatique, pour supporter latmosphère dramatique de la séquence.
Le niveau des noirs est correctement ajusté, profitant aux scènes de nuit ou en pénombre. Le contraste ne cause aucun problème, parfaitement géré. Les noirs sont profonds et purs. Les dégradés sont fluides et ne tendent jamais à bloquer.
Laspect numérique de ce transfert nest malheureusement pas sans fautes. Le plus proéminent problème est une sur-accentuation des contours trop poussée, surtout visible dans les hauts-contrastes.
Le changement de couche survient après 80 minutes et 32 secondes.
Son
Quatre bandes sonores sont offertes: Deux anglaises (DTS et Dolby Digital 5.1), une française (Dolby 2.0 Surround) et une espagnole (Dolby 2.0 Surround).
Le mixage produit ici est pleinement immersif, agressif et utilise de façon judicieuse tout lespace sonore.
Les canaux dambiophonie servent à la reproduction de nombreux sons dambiance et effets sonores localisés, quelques transitions canaux à canaux sont aussi audibles. Les enceintes avants profitent dune très bonne stéréophonie, offrant du coup un espace sonore cohérent. Les dialogues sont nets et intelligibles, sans défaut relié à l'enregistrement. La musique très orchestrale de James Newton Howard profite également du potentiel du 5.1 en se déployant de toutes les enceintes. Cette trame sonore est rendue avec puissance et fidélité.
Les basses, très présentes, sont fortes, intenses et bien étalées. Le canal dextrêmes graves (.1/LFE) est utilisé sporadiquement, moins qu'on l'aurait cru pour un film comme celui-ci.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles. Une seconde série de sous-titres, offerte dans les mêmes langues, saffichent automatiquement pour traduire les différents dialogues en langues étrangères (amérindienne, arabe, ).
Suppléments/menus
Conclusion
Réalisé par Joe Jonhston (Jurassic Park III, Jumanji), Hidalgo, comme bon nombre de film mettant en scènes des chevaux, mise sur une photographie très stylisée. Il ne fait aucun doute qu'on a grandement adapté ce fait vécu pour mieux appuyer toutes une gamme d'émotions. Après tout, nous sommes à Hollywood...
Cette édition DVD est d'un bon niveau technique. Limage a comme seul défaut majeur une sur-accentuation trop poussée (halo), comme quoi la certification THX n'est pas gage d'une image au rendu parfait. Le mixage brille par son dynamisme et une utilisation soutenue des canaux d'ambiophonie. Par contre, les suppléments sont peu nombreux et très courts.
Qualité vidéo:
3,7/5
Qualité audio:
4,0/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,8/5
Note finale:
3,8/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2004-08-24
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2004-08-24
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700