Something's Gotta Give

Critique
Synopsis/présentation
Harry Sanborn (Jack Nicholson) a la réputation de fréquenter des femmes beaucoup plus jeunes que lui. Alors quil est en vacances avec sa dernière conquête (Amanda Peet) au chalet de celle-ci, un léger infarctus oblige sa nouvelle belle-mère (Diane Keaton) à soccuper de lui. Cest alors que Sanborn tombe amoureux delle, ce qui savère être la première fois quune femme de son âge l'intéresse.
Nancy Meyers (Father of the Bride, What Women Want) agit ici comme auteure, productrice et réalisatrice du film.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9.
L'interpositif utilisé, bien que récent, montre quelques parasites. Heureusement, ceux-ci demeurent rares et discrets. Limage en général parait légèrement douce, mais ceci est dû à la photographie de Michael Ballhaus (collaborateur régulier de Scorcese) et non à ce transfert. Le niveau de détails est excellent, laissant percevoir les moindres détails des décors. Les textures (vêtements, peaux, décors, ) sont rendues de facon subtile et précise. L'étalonnage des couleurs ne fluctue pas et laisse voir une palette correctement saturée. Les tons de peau paraissent naturels, sans dominantes. Le niveau des noirs est correctement ajusté, même si certaines scènes semblent parfois légèrement délavées (un choix du directeur photo). Les contrastes sont parfaitement gèrés, peu importe les conditions lumineuses.
Les parties sombres montrent des dégradés fluides et conservent un bon niveau de détail. Les noirs sont purs et profonds.
La partie numérique de ce transfert ne montre aucun défaut dimportance. Aucune sur-accentuation des contours ne semble affecté l'image.
Son
Deux bandes sonores Dolby Digital 5.1 sont offertes, lune en Anglais et lautre en Français. Le film peut également être accompagné par une des deux pistes de commentaires audio. La première est animée par lauteure/réalisatrice/productrice Nancy Meyer, lactrice Diane Keaton et le producteur Bruce A. Block. La seconde permet également dentendre Nancy Meyers, mais cette fois-ci en compagnie de lacteur Jack Nicholson.
Voilà un mixage strictement fonctionnel. La dynamique est moyenne, mais adéquate considérant le genre. Le champ sonore se déploie essentiellement des canaux avants, doù provient pratiquement tout l'espace sonore. Certes, les canaux dambiophonies sont mis à contribution parfois, mais leurs utilisations demeurent discrètes. Seuls quelques sons dambiance (foules, vent, vagues, ) et la trame sonore se font entendre. Le champ sonore avant présente une bonne stéréophonie, avec quelques transitions gauche/droite. Par contre, laccent est évidemment mis sur le canal central, doù provient tous les dialogues. Ces derniers demeurent nets et intelligibles en tout temps. Par contre, certaines scènes du film montrent une post-synchronisation (ADR) évidente, manquant légèrement de naturel. Il ne fait aucun doute que les basses ne sont pas la force de ce mixage, elles sont néanmoins bien rendues. L'usage du canal d'extrêmes graves .1 (LFE) est tout simplement anecdotique.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Alors quHollywood est pollué par les comédies romantiques pour adolescents ou pour jeunes adultes, il est rafraîchissant de voir un film comme Somethings Gotta Give, visant une clientèle définitivement plus âgée.
Pour cette édition, la Columbia Tristar nous offre un produit qui, sans être éclatant, est d'un niveau tout à fait honnête. Limage est magnifique, mais le rendu parfois un peu doux pourrait en agacer certains. Le mixage sonore est fonctionnel et sans artifices. Les suppléments sont peu nombreux, avec comme seul intérêt les deux pistes de commentaires audio.
Harry Sanborn (Jack Nicholson) a la réputation de fréquenter des femmes beaucoup plus jeunes que lui. Alors quil est en vacances avec sa dernière conquête (Amanda Peet) au chalet de celle-ci, un léger infarctus oblige sa nouvelle belle-mère (Diane Keaton) à soccuper de lui. Cest alors que Sanborn tombe amoureux delle, ce qui savère être la première fois quune femme de son âge l'intéresse.
Nancy Meyers (Father of the Bride, What Women Want) agit ici comme auteure, productrice et réalisatrice du film.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9.
L'interpositif utilisé, bien que récent, montre quelques parasites. Heureusement, ceux-ci demeurent rares et discrets. Limage en général parait légèrement douce, mais ceci est dû à la photographie de Michael Ballhaus (collaborateur régulier de Scorcese) et non à ce transfert. Le niveau de détails est excellent, laissant percevoir les moindres détails des décors. Les textures (vêtements, peaux, décors, ) sont rendues de facon subtile et précise. L'étalonnage des couleurs ne fluctue pas et laisse voir une palette correctement saturée. Les tons de peau paraissent naturels, sans dominantes. Le niveau des noirs est correctement ajusté, même si certaines scènes semblent parfois légèrement délavées (un choix du directeur photo). Les contrastes sont parfaitement gèrés, peu importe les conditions lumineuses.
Les parties sombres montrent des dégradés fluides et conservent un bon niveau de détail. Les noirs sont purs et profonds.
La partie numérique de ce transfert ne montre aucun défaut dimportance. Aucune sur-accentuation des contours ne semble affecté l'image.
Son
Deux bandes sonores Dolby Digital 5.1 sont offertes, lune en Anglais et lautre en Français. Le film peut également être accompagné par une des deux pistes de commentaires audio. La première est animée par lauteure/réalisatrice/productrice Nancy Meyer, lactrice Diane Keaton et le producteur Bruce A. Block. La seconde permet également dentendre Nancy Meyers, mais cette fois-ci en compagnie de lacteur Jack Nicholson.
Voilà un mixage strictement fonctionnel. La dynamique est moyenne, mais adéquate considérant le genre. Le champ sonore se déploie essentiellement des canaux avants, doù provient pratiquement tout l'espace sonore. Certes, les canaux dambiophonies sont mis à contribution parfois, mais leurs utilisations demeurent discrètes. Seuls quelques sons dambiance (foules, vent, vagues, ) et la trame sonore se font entendre. Le champ sonore avant présente une bonne stéréophonie, avec quelques transitions gauche/droite. Par contre, laccent est évidemment mis sur le canal central, doù provient tous les dialogues. Ces derniers demeurent nets et intelligibles en tout temps. Par contre, certaines scènes du film montrent une post-synchronisation (ADR) évidente, manquant légèrement de naturel. Il ne fait aucun doute que les basses ne sont pas la force de ce mixage, elles sont néanmoins bien rendues. L'usage du canal d'extrêmes graves .1 (LFE) est tout simplement anecdotique.
Des sous-titres anglais, français et espagnols sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Alors quHollywood est pollué par les comédies romantiques pour adolescents ou pour jeunes adultes, il est rafraîchissant de voir un film comme Somethings Gotta Give, visant une clientèle définitivement plus âgée.
Pour cette édition, la Columbia Tristar nous offre un produit qui, sans être éclatant, est d'un niveau tout à fait honnête. Limage est magnifique, mais le rendu parfois un peu doux pourrait en agacer certains. Le mixage sonore est fonctionnel et sans artifices. Les suppléments sont peu nombreux, avec comme seul intérêt les deux pistes de commentaires audio.
Qualité vidéo:
3,9/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,8/5
Note finale:
3,8/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2004-04-14
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2004-04-14
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700