Synopsis/présentation
Chaque 2 février, tous les regards des États-Unis se tournent vers le village de Punxsutawney, en Pennsylvanie, pour savoir si la marmotte Phil prédira un printemps précoce ou si l'hiver durera six semaines supplémentaires. Groundhog Day nous montre le présentateur météo Phil Connors (Bill Murray), blasé et égocentrique, en compagnie de son caméraman (Chris Elliot) et sa productrice (Andie MacDowell). La journée se déroule normalement, mais le retour à la maison est reporté à cause d’une tempête, forçant l’équipe à dormir dans le petit village. Quand Phil se réveille le lendemain matin, tout est identique à la veille… littéralement. Phil va revivre la même journée jusqu'à ce que...


Image
Le film est présenté au format d’image respecté de 1.85:1 d’après un transfert 16 :9 identique à celui de l’édition précédente.

Bien que l’image n’affiche que très peu de défauts relatif au matériel source (égratignures, points, …), l’image n’est pas impeccable pour autant. Un grain est souvent visible, au point d’en être dérangent. La définition générale de l’image est convenable, avec un niveau de détails qui souffre d’inégalités tout au long du film: certaines scènes sont bien définies, d’autres moins. Les textures s’en voient évidemment affectées. Les couleurs manquent un peu de saturation, paraissant légèrement ternes et pas aussi vives que pour d’autres transferts de la même époque. Le niveau des noirs est adéquat et les contrastes sont généralement bien gérés. Les dégradés sont fluides, mais bloquent souvent prématurément. Les noirs sont profonds, mais leur pureté est parfois douteuse.

Numériquement, dans les premiers instants du film, un sévère effet d'halo est visible autour des différents textes, mais ce problème semble s’estomper au fur et à mesure. Outre cela, on note un léger fourmillement et un effet fantôme dans les parties sombres.


Son
Trois bandes sonores Dolby Digital 5.1 sont disponibles, soit la version originale anglaise et les doublages français et portugais (et non espagnol). Une piste de commentaires audio en compagnie du réalisateur et co-scénariste Harold Ramis peut également accompagner le film.

Pour une comédie, le mixage est étrangement dynamique et fait un bon usage de tous les canaux, ce qui est une agréable surprise pour un film de ce genre. Les canaux d’ambiophonie reproduisent de nombreux sons d’ambiance cohérents avec l’action vue à l’écran et quelques effets localisés ponctuent également le mixage. Le champ sonore avant profite d’une bonne stéréophonie et demeure relativement bien articulé. Les dialogues demeurent nets et parfaitement intelligibles, sans défauts de captation . La trame sonore volontairement redondante par moment, est correctement intégrée au mixage, sans jamais trop être appuyée. Les basses supportent adéquatement ce mixage, alors que les extrêmes graves sont malheureusement sous-exploitées.

Des sous-titres anglais, français et portugais sont offerts. Étrangement, rien n’est laissé aux espagnols, ce qui est particulièrement étrange pour un produit nord-américain.


Suppléments/menus








Conclusion