Mr. Woodcock
Critique
Synopsis/présentation
Longtemps traumatisé par son professeur déducation physique (Billy Bob Thornton) lorsquil était à lécole primaire, John Farley (Seann William Scott) a su combattre ses démons et explique sa démarche dans un livre qui a fait de lui une célébrité. De retour dans son village natal pour recevoir la plus haute récompense de la communauté, il apprend à son grand regret que sa mère (Susan Sarandon) fréquente maintenant son ancien bourreau académique. Voulant mettre fin à ce sacrilège, il tente par tous les moyens de prouver à sa mère que son copain nest pas celui quelle pense. Pendant ce temps, lagente de Farley (Amy Poehler) essaie de le convaincre de quitter ce village de péquenots pour continuer sa tournée médiatique.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
Le matériel source naffiche aucun défaut majeur, bien quun grain soit parfois notable. Le plus gros problème de ce transfert repose dans la définition générale de limage. Celle-ci manque de piqué et de nombreux plans paraissent flous. Le rendu des textures sen voit évidemment affecter, nayant pas toute la précision souhaitée. Le niveau de détails est également décevant. Les couleurs, riches et variées, sont correctement reproduites et demeurent naturelles tout au long du film. Les scènes à la fête foraine mettent en contrastes des noirs profonds et des couleurs éclatantes. On ne peut donc rien reprocher à la palette. Le niveau des noirs est adéquat, alors que les contrastes demeurent bien gérés. Les dégradés sont fluides, mais bloquent à quelques reprises.
Aucun problème numérique majeur ne saffiche, autant à cause de la numérisation ou de la compression.
Son
Lédition canadienne, mise en marché par Alliance Vivafilm, ajoute un doublage Dolby Digital 5.1 français à la version originale anglaise de même format. Aucune piste de commentaires audio nest offerte.
Pour une comédie, le mixage tire bien sa part du jeu en exploitant lenvironnement sonore de bonne façon. Le dynamisme, dans être exacerbé est d'un bon niveau. Les canaux d'ambiophonies offrent de nombreux sons dambiance, ainsi que quelques effets localisés, sans paraitre artificiels ou faux. Tout le naturel du mixage est conservé. Le champ sonore avant, pour sa part, offre une excellente stéréophonie et demeure bien articulé et détaillé. Quelques transitions gauche-droite sont audibles. Les dialogues sont nets et intelligibles, sans problèmes de captation ou de naturalité. La trame sonore na rien dexceptionnelle, mais a tout de même lavantage de ne jamais empiéter sur les dialogues. Les basses remplissent leur devoir et les extrêmes graves (LFE, canal .1) sont mises en valeur à quelques instants précis seulement. Un de ces moments est lorsque Woodock drible avec le ballon de basketball, les basses amplifiées donnent au son une profondeur inquiétante et ténébreuse.
Des sous-titres anglais et français sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Comédie convenue, Mr. Woodcock napporte strictement rien de nouveau au genre. Les personnages sont stéréotypés et mettent en évidence une impression de déjà-vu navrante (combien de fois Seann William Scott a-t-il joué un perdant opprimé ?). De plus, lhistoire est tristement prévisible et exagérée, empruntant des éléments à dautres films.
Concernant cette édition DVD, cest également un produit tout ce quil y a de plus conventionnel. Le transfert affiche une image légèrement trop douce, mais avec très peu dautres problèmes. Le mixage sonore est de très bonne facture, offrant une immersion intéressante pour une comédie. Les suppléments ne se distingue pas de ce qui est habituellement offert pour ce genre de film, c'est-à-dire un documentaire dune quinzaine de minutes alternant entrevues, scènes du film et séquences en coulisses, quelques scènes inédites et une série dentrevues ayant comme sujet les enseignants déducation physique.
Longtemps traumatisé par son professeur déducation physique (Billy Bob Thornton) lorsquil était à lécole primaire, John Farley (Seann William Scott) a su combattre ses démons et explique sa démarche dans un livre qui a fait de lui une célébrité. De retour dans son village natal pour recevoir la plus haute récompense de la communauté, il apprend à son grand regret que sa mère (Susan Sarandon) fréquente maintenant son ancien bourreau académique. Voulant mettre fin à ce sacrilège, il tente par tous les moyens de prouver à sa mère que son copain nest pas celui quelle pense. Pendant ce temps, lagente de Farley (Amy Poehler) essaie de le convaincre de quitter ce village de péquenots pour continuer sa tournée médiatique.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
Le matériel source naffiche aucun défaut majeur, bien quun grain soit parfois notable. Le plus gros problème de ce transfert repose dans la définition générale de limage. Celle-ci manque de piqué et de nombreux plans paraissent flous. Le rendu des textures sen voit évidemment affecter, nayant pas toute la précision souhaitée. Le niveau de détails est également décevant. Les couleurs, riches et variées, sont correctement reproduites et demeurent naturelles tout au long du film. Les scènes à la fête foraine mettent en contrastes des noirs profonds et des couleurs éclatantes. On ne peut donc rien reprocher à la palette. Le niveau des noirs est adéquat, alors que les contrastes demeurent bien gérés. Les dégradés sont fluides, mais bloquent à quelques reprises.
Aucun problème numérique majeur ne saffiche, autant à cause de la numérisation ou de la compression.
Son
Lédition canadienne, mise en marché par Alliance Vivafilm, ajoute un doublage Dolby Digital 5.1 français à la version originale anglaise de même format. Aucune piste de commentaires audio nest offerte.
Pour une comédie, le mixage tire bien sa part du jeu en exploitant lenvironnement sonore de bonne façon. Le dynamisme, dans être exacerbé est d'un bon niveau. Les canaux d'ambiophonies offrent de nombreux sons dambiance, ainsi que quelques effets localisés, sans paraitre artificiels ou faux. Tout le naturel du mixage est conservé. Le champ sonore avant, pour sa part, offre une excellente stéréophonie et demeure bien articulé et détaillé. Quelques transitions gauche-droite sont audibles. Les dialogues sont nets et intelligibles, sans problèmes de captation ou de naturalité. La trame sonore na rien dexceptionnelle, mais a tout de même lavantage de ne jamais empiéter sur les dialogues. Les basses remplissent leur devoir et les extrêmes graves (LFE, canal .1) sont mises en valeur à quelques instants précis seulement. Un de ces moments est lorsque Woodock drible avec le ballon de basketball, les basses amplifiées donnent au son une profondeur inquiétante et ténébreuse.
Des sous-titres anglais et français sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Comédie convenue, Mr. Woodcock napporte strictement rien de nouveau au genre. Les personnages sont stéréotypés et mettent en évidence une impression de déjà-vu navrante (combien de fois Seann William Scott a-t-il joué un perdant opprimé ?). De plus, lhistoire est tristement prévisible et exagérée, empruntant des éléments à dautres films.
Concernant cette édition DVD, cest également un produit tout ce quil y a de plus conventionnel. Le transfert affiche une image légèrement trop douce, mais avec très peu dautres problèmes. Le mixage sonore est de très bonne facture, offrant une immersion intéressante pour une comédie. Les suppléments ne se distingue pas de ce qui est habituellement offert pour ce genre de film, c'est-à-dire un documentaire dune quinzaine de minutes alternant entrevues, scènes du film et séquences en coulisses, quelques scènes inédites et une série dentrevues ayant comme sujet les enseignants déducation physique.
Qualité vidéo:
3,5/5
Qualité audio:
3,8/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,6/5
Note finale:
3,7/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2008-04-01
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur Hitachi 51F500, Récepteur Denon AVR-487, Enceintes Denon SYS-57HT, Lecteur DVD/HD-DVD XBox 360 de Microsoft
Date de publication: 2008-04-01
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur Hitachi 51F500, Récepteur Denon AVR-487, Enceintes Denon SYS-57HT, Lecteur DVD/HD-DVD XBox 360 de Microsoft