Identity: Special Edition

Critique
Synopsis/présentation
Son nom ne vous dit probablement rien, mais James Mangold fut longtemps considéré comme l'un des talent les plus prometteur de Hollywood. Avant même qu'une seule image ne soit tournée, son scénario pour Cop Land était qualifié de pure merveille au sein de l'industrie. Les acteurs se l'arrachaient, et tous cognaient à la porte de Mangold pour y avoir un rôle. Sylvester Stallone y voyait dailleurs le tremplin idéal qui allait enfin remettre sa carrière sur la bonne voie. Quelques semaines avant la sortie du film, le bouche à oreille était plus que favorable au film et à son équipe d'interprète, au sein de laquelle la performance de Stallone était dores et déjà qualifiée « doscarisable ». Pourtant, à la parution en salles du film, les éloges ne se firent pas aussi nombreuses que prévues et le public fut bien loin d'être au rendez-vous. Rapidement, ce film que toute l'industrie se pressait à qualifier de chef duvre sombra dans l'oublie le plus totale. À l'instar de son prometteur scénariste et réalisateur, James Mangold.
Pourtant, depuis ce temps, Mangold est demeuré bien occupé et sa carrière n'est pas particulièrement à plaindre. Après le semi-échec de Copland, le réalisateur enchaîna avec ladaptation du roman Girl, Interrupted, film pour lequel Angelina Jolie sest d'ailleurs méritée lOscar du meilleur rôle de soutient. Sans être une grande réussite, ce film démontrait néanmoins chez Mangold une certaine finesse dans l'écriture de ses scénarios et une parfaite maîtrise du langage cinématographique. Deux ans plus tard, il nous prit par surprise en se détachant des thèmes sombres de ses précédents films en nous offrant une gentille petite comédie romantique, Kate & Leopold. À nouveau, le film était bien loin de révolutionner le genre mais il comportait suffisamment didées originales et rafraîchissantes pour susciter lintérêt. Aujourdhui, Mangold surprend encore davantage en changeant une fois de plus complètement de registre. Si, pour la première fois, il nen signe pas la scénarisation, sa mise en scène de Identity prouve que Mangold est un réalisateur des plus versatile, qui arrive à maîtriser pratiquement tous les genres avec une grande dextérité. Dorénavant, il ne lui restera plus quà trouver un style et une oeuvre qui le distinguent vraiment
La prémisse de Identity est fort simple et, surtout, très familière. Dix étrangers qui nont apparemment rien en commun se retrouvent coincés un soir d'orage dans un hôtel isolé. Rapidement, un tueur se met à décimer le groupe un par un pendant que les survivants tournent leur soupçons les uns sur les autres. Un thême connu? Identity se veut très librement inspirée du célèbre roman 10 Petits Nègres dAgatha Christie. Par contre, si la prémisse se veut ressemblante, lévolution de l'intrigue du film est on ne peut plus originale et surprenante ! En fait, si le film respecte la plupart des conventions du film d'horreur et du suspense, il sen détache également par son dénouement (que nous ne divulguerons pas ici) ainsi que par sa mise en scène. En ce sens, les premières minutes du film, qui rassemblent les personnages ensemble, sont particulièrement saisissantes grâce à un montage à rebours des plus efficace. Plusieurs critiques ont déploré le fait que le film nous mène aveuglément en bateau. Au contraire ! Telles les pièces dun casse-tête, les indices sur la résolution de l'intrigue sont habilement dévoilés dès le générique douverture. La résolution de l'intrigue évite ainsi la manipulation en concrétisant les indices qui sont semés ça et là du début à la fin. Et cette résolution a le mérite de surprendre tout en demeurant crédible. De plus, la conclusion présente une thématique absolument fascinante sur l'identité humaine ainsi quun plaidoyer saisissant contre la peine de mort.
S'il est un seul reproche à faire au film, cest de sombrer dans les clichés dusage dans les dernières cinq minutes du film en nous offrant un rebondissement assez risible, quoique pas nécessairement dépourvu de sens lorsque analysé avec un peu plus de recul.
Identity est un suspense des plus efficace, qui se distingue grâce à une distribution impeccable, une ambiance à glacer le sang (l'utilisation de la pluie est remarquable) et une intrigue surprenante (moins vide que bien d'autres production du même genre). L'un des meilleur suspence à nous avoir été offert depuis longtemps.
Image
Cette édition offre le film dans le format respecté de 2.40:1, daprès un transfert 16:9. Un transfert au format recadré de 1.33:1 est également disponible sur la même face du disque. Pour cette critique, cest le transfert 16:9 qui a été évalué.
Linterpositif employé pour le téléciné était dans un excellent état puisque aucune anomalie n'est visible. La définition est remarquable et laisse voir les moindres détails et textures avec une belle précision. Limage est toujours nette et ne souffre daucun manque de piqué. Sachant que la grande majorité du film se déroule dans la pénombre, le rendu des couleurs aurait pu s'avérer problématique. Mais au contraire, malgré des dominantes froides et sombres, les couleurs sont étonnamment riches, naturelles et bien saturées. On ne remarque aucun débordement. Les tons de peau ont également une apparence naturelle. Le contraste est bien ajusté, tout comme la brillance qui ne fluctue jamais. Les nombreuses parties sombres présentent des dégradés correctement détaillés. Seul à quelques moments les dégradés bloquent un peu, mais jamais assez au point de devenir problématique. Les noirs sont presque toujours nets et profonds; des fourmillements sont occasionnellement visibles.
Une lègère sur-accentuation des contours est observable, ce problème n'est toutefois pas assez prohéminent au point de devenir dérangeant.
Peut-être le seul véritable défaut de ce transfert, une compression qui laisse voir de subtils macroblocs. Cela est probablement du à l'espace demandée par la présence des deux transferts du film (formats respecté et recadré) sur la même face du disque.
Son
Cette édition offre une bande-son anglaise de format Dolby Digital 5.1 ainsi quun doublage français mixé en Dolby Surround 2.0 seulement. Il est dommage que la Columbia/Tristar, qui parfois offre des doublages français multi-canaux 5.1 avec ses éditions, se soit contenté cette-fois ci d'un mixage français au format Dolby Surround. Est-ce pour des raisons despace? Il sagit peut-être de lhypothèse la plus logique
Quoi quil en soit, le mixage anglais bénéficie dune présence et dune profondeur tout à fait honorable. La spatialité est bonne, en accord avec l'ambiance lourde et oppressante du film. Le champ-sonore se déploie depuis tous les canaux de façon à créer un environnement des plus immersif. Malgré la pluie omniprésente qui habite le champ-sonore, les éléments sonores sont toujours bien positionnés, et ce, sans débordement d'un canaux à l'autre. Les canaux dambiophonies sont employés à bons escients, principalement pour créer une ambiance des plus réussie mais aussi pour nous surprendre de ses effets localisés. Les transitions de canaux donnent l'impact qu'il faut aux scènes d'action, sans exagération. L'intégration de la trame-sonore, est parfaitement au service du film. Elle profite subtilement, mais efficacement, de tous les canaux disponibles. Les dialogues sont toujours naturels et intelligibles. Tout le bas du spectre est bien géré, résultant en des basses profondes et correctement étalées. Le canal .1 (LFE) manifeste sa présence de façon très agressive aux moments opportuns, sans surenchère.
Il est à noter que des sous-titres sont aussi offerts, en langue anglaise et française.
Suppléments/menus
Avant d'analyser les suppléments de cette édition, précisons que le film lui-même nous est présenté dans deux versions différentes. Via laiguillage automatique (seamless branching), il nous est possible de visionner le montage original du film tel que présenté en salles, ou encore une version allongée de quelques minutes. Les différences entre les deux montages sont très peu nombreuses. Certaines scènes ont été allongées de quelques secondes et la conclusion du film comporte quelques subtiles altérations, tout en restant essentiellement la même. À noter que seule le format respecté du film (2.40:1) offre le choix entre les deux version. Le format recadré (1.33:1) nest offert que dans le montage original.
En guise de suppléments, vous retrouverez tout dabord une piste de commentaires audio animée par le réalisateur James Mangold. Ce dernier est un orateur articulé et fort intéressant, y allant de commentaires techniques ou d'analyses, en plus de quelques anecdotes assez amusantes sur le tournage. Malheureusement, les silences deviennent de plus en plus longs et nombreux en deuxième partie du film. Ce qui devient vite lassant.
Il y a ensuite une série de quatre scènes coupées, présentées avec commentaires optionnels du réalisateur. Dun certain intérêt, ces scènes sont marquées d'une touche dhumour qui fut jugée néfaste à lambiance du film par le réalisateur.
Starz Special: On the Set of Identity (14 minutes) est un typique segment promotionnel dans lequel les comédiens et le réalisateur ne font autre chose que de résumer les grandes lignes de l'intrigue. Les acteurs insistent évidemment sur le plaisir quils ont eu à travailler avec léquipe, tout en louangeant le talent de chacun. Plutôt ennuyant, si ce nest des quelques images filmées en coulisse.
Finalement, en plus de la bande-annonce originale et de quelques filmographies, vous retrouverez trois comparaisons de scénarimages. Ces comparaisons sont montrées via des montages qui présentent les scénarimages en continu dans le haut de l'écran et la scène finale dans la partie du bas.
Conclusion
Malgré une finale qui risque den laisser quelques-uns perplexes, Identity est probablement lun des suspences les plus ingénieux et réussis à avoir été offert depuis longtemps par Hollywood. Techniquement, cette édition en est une des plus valable grâce à une bonne qualité dimage et une bande-son très réussie qui contribue magnifiquement au climat dangoisse du film. Dommage seulement que les suppléments soient peu nombreux et dun intérêt très limité, surtout qu'il s'agit d'une édition spéciale.
Son nom ne vous dit probablement rien, mais James Mangold fut longtemps considéré comme l'un des talent les plus prometteur de Hollywood. Avant même qu'une seule image ne soit tournée, son scénario pour Cop Land était qualifié de pure merveille au sein de l'industrie. Les acteurs se l'arrachaient, et tous cognaient à la porte de Mangold pour y avoir un rôle. Sylvester Stallone y voyait dailleurs le tremplin idéal qui allait enfin remettre sa carrière sur la bonne voie. Quelques semaines avant la sortie du film, le bouche à oreille était plus que favorable au film et à son équipe d'interprète, au sein de laquelle la performance de Stallone était dores et déjà qualifiée « doscarisable ». Pourtant, à la parution en salles du film, les éloges ne se firent pas aussi nombreuses que prévues et le public fut bien loin d'être au rendez-vous. Rapidement, ce film que toute l'industrie se pressait à qualifier de chef duvre sombra dans l'oublie le plus totale. À l'instar de son prometteur scénariste et réalisateur, James Mangold.
Pourtant, depuis ce temps, Mangold est demeuré bien occupé et sa carrière n'est pas particulièrement à plaindre. Après le semi-échec de Copland, le réalisateur enchaîna avec ladaptation du roman Girl, Interrupted, film pour lequel Angelina Jolie sest d'ailleurs méritée lOscar du meilleur rôle de soutient. Sans être une grande réussite, ce film démontrait néanmoins chez Mangold une certaine finesse dans l'écriture de ses scénarios et une parfaite maîtrise du langage cinématographique. Deux ans plus tard, il nous prit par surprise en se détachant des thèmes sombres de ses précédents films en nous offrant une gentille petite comédie romantique, Kate & Leopold. À nouveau, le film était bien loin de révolutionner le genre mais il comportait suffisamment didées originales et rafraîchissantes pour susciter lintérêt. Aujourdhui, Mangold surprend encore davantage en changeant une fois de plus complètement de registre. Si, pour la première fois, il nen signe pas la scénarisation, sa mise en scène de Identity prouve que Mangold est un réalisateur des plus versatile, qui arrive à maîtriser pratiquement tous les genres avec une grande dextérité. Dorénavant, il ne lui restera plus quà trouver un style et une oeuvre qui le distinguent vraiment
La prémisse de Identity est fort simple et, surtout, très familière. Dix étrangers qui nont apparemment rien en commun se retrouvent coincés un soir d'orage dans un hôtel isolé. Rapidement, un tueur se met à décimer le groupe un par un pendant que les survivants tournent leur soupçons les uns sur les autres. Un thême connu? Identity se veut très librement inspirée du célèbre roman 10 Petits Nègres dAgatha Christie. Par contre, si la prémisse se veut ressemblante, lévolution de l'intrigue du film est on ne peut plus originale et surprenante ! En fait, si le film respecte la plupart des conventions du film d'horreur et du suspense, il sen détache également par son dénouement (que nous ne divulguerons pas ici) ainsi que par sa mise en scène. En ce sens, les premières minutes du film, qui rassemblent les personnages ensemble, sont particulièrement saisissantes grâce à un montage à rebours des plus efficace. Plusieurs critiques ont déploré le fait que le film nous mène aveuglément en bateau. Au contraire ! Telles les pièces dun casse-tête, les indices sur la résolution de l'intrigue sont habilement dévoilés dès le générique douverture. La résolution de l'intrigue évite ainsi la manipulation en concrétisant les indices qui sont semés ça et là du début à la fin. Et cette résolution a le mérite de surprendre tout en demeurant crédible. De plus, la conclusion présente une thématique absolument fascinante sur l'identité humaine ainsi quun plaidoyer saisissant contre la peine de mort.
S'il est un seul reproche à faire au film, cest de sombrer dans les clichés dusage dans les dernières cinq minutes du film en nous offrant un rebondissement assez risible, quoique pas nécessairement dépourvu de sens lorsque analysé avec un peu plus de recul.
Identity est un suspense des plus efficace, qui se distingue grâce à une distribution impeccable, une ambiance à glacer le sang (l'utilisation de la pluie est remarquable) et une intrigue surprenante (moins vide que bien d'autres production du même genre). L'un des meilleur suspence à nous avoir été offert depuis longtemps.
Image
Cette édition offre le film dans le format respecté de 2.40:1, daprès un transfert 16:9. Un transfert au format recadré de 1.33:1 est également disponible sur la même face du disque. Pour cette critique, cest le transfert 16:9 qui a été évalué.
Linterpositif employé pour le téléciné était dans un excellent état puisque aucune anomalie n'est visible. La définition est remarquable et laisse voir les moindres détails et textures avec une belle précision. Limage est toujours nette et ne souffre daucun manque de piqué. Sachant que la grande majorité du film se déroule dans la pénombre, le rendu des couleurs aurait pu s'avérer problématique. Mais au contraire, malgré des dominantes froides et sombres, les couleurs sont étonnamment riches, naturelles et bien saturées. On ne remarque aucun débordement. Les tons de peau ont également une apparence naturelle. Le contraste est bien ajusté, tout comme la brillance qui ne fluctue jamais. Les nombreuses parties sombres présentent des dégradés correctement détaillés. Seul à quelques moments les dégradés bloquent un peu, mais jamais assez au point de devenir problématique. Les noirs sont presque toujours nets et profonds; des fourmillements sont occasionnellement visibles.
Une lègère sur-accentuation des contours est observable, ce problème n'est toutefois pas assez prohéminent au point de devenir dérangeant.
Peut-être le seul véritable défaut de ce transfert, une compression qui laisse voir de subtils macroblocs. Cela est probablement du à l'espace demandée par la présence des deux transferts du film (formats respecté et recadré) sur la même face du disque.
Son
Cette édition offre une bande-son anglaise de format Dolby Digital 5.1 ainsi quun doublage français mixé en Dolby Surround 2.0 seulement. Il est dommage que la Columbia/Tristar, qui parfois offre des doublages français multi-canaux 5.1 avec ses éditions, se soit contenté cette-fois ci d'un mixage français au format Dolby Surround. Est-ce pour des raisons despace? Il sagit peut-être de lhypothèse la plus logique
Quoi quil en soit, le mixage anglais bénéficie dune présence et dune profondeur tout à fait honorable. La spatialité est bonne, en accord avec l'ambiance lourde et oppressante du film. Le champ-sonore se déploie depuis tous les canaux de façon à créer un environnement des plus immersif. Malgré la pluie omniprésente qui habite le champ-sonore, les éléments sonores sont toujours bien positionnés, et ce, sans débordement d'un canaux à l'autre. Les canaux dambiophonies sont employés à bons escients, principalement pour créer une ambiance des plus réussie mais aussi pour nous surprendre de ses effets localisés. Les transitions de canaux donnent l'impact qu'il faut aux scènes d'action, sans exagération. L'intégration de la trame-sonore, est parfaitement au service du film. Elle profite subtilement, mais efficacement, de tous les canaux disponibles. Les dialogues sont toujours naturels et intelligibles. Tout le bas du spectre est bien géré, résultant en des basses profondes et correctement étalées. Le canal .1 (LFE) manifeste sa présence de façon très agressive aux moments opportuns, sans surenchère.
Il est à noter que des sous-titres sont aussi offerts, en langue anglaise et française.
Suppléments/menus
Avant d'analyser les suppléments de cette édition, précisons que le film lui-même nous est présenté dans deux versions différentes. Via laiguillage automatique (seamless branching), il nous est possible de visionner le montage original du film tel que présenté en salles, ou encore une version allongée de quelques minutes. Les différences entre les deux montages sont très peu nombreuses. Certaines scènes ont été allongées de quelques secondes et la conclusion du film comporte quelques subtiles altérations, tout en restant essentiellement la même. À noter que seule le format respecté du film (2.40:1) offre le choix entre les deux version. Le format recadré (1.33:1) nest offert que dans le montage original.
En guise de suppléments, vous retrouverez tout dabord une piste de commentaires audio animée par le réalisateur James Mangold. Ce dernier est un orateur articulé et fort intéressant, y allant de commentaires techniques ou d'analyses, en plus de quelques anecdotes assez amusantes sur le tournage. Malheureusement, les silences deviennent de plus en plus longs et nombreux en deuxième partie du film. Ce qui devient vite lassant.
Il y a ensuite une série de quatre scènes coupées, présentées avec commentaires optionnels du réalisateur. Dun certain intérêt, ces scènes sont marquées d'une touche dhumour qui fut jugée néfaste à lambiance du film par le réalisateur.
Starz Special: On the Set of Identity (14 minutes) est un typique segment promotionnel dans lequel les comédiens et le réalisateur ne font autre chose que de résumer les grandes lignes de l'intrigue. Les acteurs insistent évidemment sur le plaisir quils ont eu à travailler avec léquipe, tout en louangeant le talent de chacun. Plutôt ennuyant, si ce nest des quelques images filmées en coulisse.
Finalement, en plus de la bande-annonce originale et de quelques filmographies, vous retrouverez trois comparaisons de scénarimages. Ces comparaisons sont montrées via des montages qui présentent les scénarimages en continu dans le haut de l'écran et la scène finale dans la partie du bas.
Conclusion
Malgré une finale qui risque den laisser quelques-uns perplexes, Identity est probablement lun des suspences les plus ingénieux et réussis à avoir été offert depuis longtemps par Hollywood. Techniquement, cette édition en est une des plus valable grâce à une bonne qualité dimage et une bande-son très réussie qui contribue magnifiquement au climat dangoisse du film. Dommage seulement que les suppléments soient peu nombreux et dun intérêt très limité, surtout qu'il s'agit d'une édition spéciale.
Qualité vidéo:
3,9/5
Qualité audio:
4,0/5
Suppléments:
2,5/5
Rapport qualité/prix:
3,5/5
Note finale:
3,5/5
Auteur: Yannick Savard
Date de publication: 2003-08-28
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 4:3 Sony Trinitron Wega KV-32S42, Récepteur Pioneer VSX-D509, Lecteur DVD Pioneer DVL-909, enceintes Bose, câbles Monster Cable.
Date de publication: 2003-08-28
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 4:3 Sony Trinitron Wega KV-32S42, Récepteur Pioneer VSX-D509, Lecteur DVD Pioneer DVL-909, enceintes Bose, câbles Monster Cable.