Van Wilder: The Rise of Taj (Unrated)

Critique
Synopsis/présentation
Après avoir réussi avec succès ses études, en partie grâce à son mentor Van Wilder, Taj se lance à la conquête dun nouveau défi: Un doctorat en histoire à lUniversité de Camford, en Angleterre. Pour y parvenir, il devra sajuster aux différences culturelles puisque son style denseignement lui donne une réputation danti-conformiste dans léternelle tradition stricte et stéréotypée des Britanniques. À son arrivée, une blague jouée à ses dépens par une confrérie hautaine lamènera à fonder une confrérie rivale et de leur lancer un défi lors de la compétition annuelle de lUniversité. Au fil d'activités, la philosophie de Taj amène ses collègues à en apprendre plus sur eux-mêmes et de voir la vie sous un tout autre angle.
Image
Le film est présenté au format dimage respectée de 1.85 :1 daprès un transfert 16:9.
Comme plusieurs films récents, le transfert de The Rise of Taj est bon, sans être exceptionnel. Linterpositif utilisé naffiche aucun défaut majeur, bien quun grain soit fréquemment observable. La définition générale de limage est bonne, mais manque de constance. Certains plans nont pas toute la précision voulue. Le niveau de détails demeure bon, alors que les textures sont correctement rendues, mais rien qui ne va au-delà des normes actuelles pour les transferts de films récents. Les couleurs sont bien reproduites, avec des choix stylistiques caractérisant différents moments du film: Couleurs ternes pour les décors de luniversité et vives pour la confrérie de Taj. On note cependant quelques débordements qui, heureusement, demeurent rares et peu dérangeants. Le niveau de noirs est correct, alors que les contrastes sont bien gérés. Les dégradés sont fluides et ne bloquent jamais prématurément, le tout menant à des noirs profonds et purs.
Numériquement, quelques défauts mineurs sont observables. Parmi ceux-ci, un effet de crénelage survient de temps à autres, tout comme un léger fourmillement.
Son
Cette édition non censurée mise en marché par Alliance Atlantis offre la version originale anglaise au format Dolby Digital 5.1 et un doublage Dolby 2.0 Surround en Espagnol ! Effectivement, rien pour les francophones.
Van Wilder 2 respecte en tous points le style établi par les films ''dados'' et le mixage suit également cette logique. Strictement fonctionnel serait donc le qualificatif applicable à ce mixage. Le dynamisme demeure plutôt neutre, à quelques exceptions pres, et il faut une situation qui sorte de lordinaire pour que le mixage mette en valeur les canaux d'ambiophonie. Le champ sonore avant offre une bonne stéréophonie, laissant même entendre quelques transitions gauche-droite. Les dialogues sont nets et parfaitement intelligibles, ne laissant jamais un effet sonore ou la trame sonore empiéter sur les dialogues, aussi ridicules soient-ils. Par contre, certains sons darrière-plans sont audibles par moments, sans pour autant nuire aux dialogues. La trame sonore ajoute de la vie au mixage et fait une utilisation notable mais restreinte des canaux arrières. Outre la trame sonore, seuls quelques rares effets sonores ou sons dambiances émanent des enceintes arrières. Les basses supportent adéquatement le mixage, alors que les extrêmes graves grondent en de rares occasions.
Étrangement, Alliance Atlantis a complètement négligé les francophones, allant même jusquà offrir uniquement des sous-titres anglais et espagnols.
Suppléments/menus
Conclusion
National Lampoons Van Wilder : The Rise of Taj nest pas seulement un long titre, mais également un long film. Non pas à cause de ces 98 minutes, mais plutôt parce quil sagit de 98 minutes dun humour qui ne le distingue aucunement des autres films dados. Blagues à caractère sexuel, humour de toilettes, grossièretés, vulgarités, nudité La routine habituelle quoi ! Pour obtenir ce genre de film, pourquoi ne pas aller vers le père de tous les films dados, Animal House, ou vers un des ses descendants les plus réussis comme American Pie.
Lédition offerte na rien de bien exceptionnelle non plus. Le transfert vidéo est dans les normes du marché, peut-être même un peu en dessous, alors que le mixage sonore est platement fonctionnel. Sur une note plus positive, les suppléments optent pour lapproche humoristique (évidemment) en traitant de différents aspects de la production et avec le contenu habituel: Bêtisier, vidéoclips, scènes inédites, etc.
Après avoir réussi avec succès ses études, en partie grâce à son mentor Van Wilder, Taj se lance à la conquête dun nouveau défi: Un doctorat en histoire à lUniversité de Camford, en Angleterre. Pour y parvenir, il devra sajuster aux différences culturelles puisque son style denseignement lui donne une réputation danti-conformiste dans léternelle tradition stricte et stéréotypée des Britanniques. À son arrivée, une blague jouée à ses dépens par une confrérie hautaine lamènera à fonder une confrérie rivale et de leur lancer un défi lors de la compétition annuelle de lUniversité. Au fil d'activités, la philosophie de Taj amène ses collègues à en apprendre plus sur eux-mêmes et de voir la vie sous un tout autre angle.
Image
Le film est présenté au format dimage respectée de 1.85 :1 daprès un transfert 16:9.
Comme plusieurs films récents, le transfert de The Rise of Taj est bon, sans être exceptionnel. Linterpositif utilisé naffiche aucun défaut majeur, bien quun grain soit fréquemment observable. La définition générale de limage est bonne, mais manque de constance. Certains plans nont pas toute la précision voulue. Le niveau de détails demeure bon, alors que les textures sont correctement rendues, mais rien qui ne va au-delà des normes actuelles pour les transferts de films récents. Les couleurs sont bien reproduites, avec des choix stylistiques caractérisant différents moments du film: Couleurs ternes pour les décors de luniversité et vives pour la confrérie de Taj. On note cependant quelques débordements qui, heureusement, demeurent rares et peu dérangeants. Le niveau de noirs est correct, alors que les contrastes sont bien gérés. Les dégradés sont fluides et ne bloquent jamais prématurément, le tout menant à des noirs profonds et purs.
Numériquement, quelques défauts mineurs sont observables. Parmi ceux-ci, un effet de crénelage survient de temps à autres, tout comme un léger fourmillement.
Son
Cette édition non censurée mise en marché par Alliance Atlantis offre la version originale anglaise au format Dolby Digital 5.1 et un doublage Dolby 2.0 Surround en Espagnol ! Effectivement, rien pour les francophones.
Van Wilder 2 respecte en tous points le style établi par les films ''dados'' et le mixage suit également cette logique. Strictement fonctionnel serait donc le qualificatif applicable à ce mixage. Le dynamisme demeure plutôt neutre, à quelques exceptions pres, et il faut une situation qui sorte de lordinaire pour que le mixage mette en valeur les canaux d'ambiophonie. Le champ sonore avant offre une bonne stéréophonie, laissant même entendre quelques transitions gauche-droite. Les dialogues sont nets et parfaitement intelligibles, ne laissant jamais un effet sonore ou la trame sonore empiéter sur les dialogues, aussi ridicules soient-ils. Par contre, certains sons darrière-plans sont audibles par moments, sans pour autant nuire aux dialogues. La trame sonore ajoute de la vie au mixage et fait une utilisation notable mais restreinte des canaux arrières. Outre la trame sonore, seuls quelques rares effets sonores ou sons dambiances émanent des enceintes arrières. Les basses supportent adéquatement le mixage, alors que les extrêmes graves grondent en de rares occasions.
Étrangement, Alliance Atlantis a complètement négligé les francophones, allant même jusquà offrir uniquement des sous-titres anglais et espagnols.
Suppléments/menus
Conclusion
National Lampoons Van Wilder : The Rise of Taj nest pas seulement un long titre, mais également un long film. Non pas à cause de ces 98 minutes, mais plutôt parce quil sagit de 98 minutes dun humour qui ne le distingue aucunement des autres films dados. Blagues à caractère sexuel, humour de toilettes, grossièretés, vulgarités, nudité La routine habituelle quoi ! Pour obtenir ce genre de film, pourquoi ne pas aller vers le père de tous les films dados, Animal House, ou vers un des ses descendants les plus réussis comme American Pie.
Lédition offerte na rien de bien exceptionnelle non plus. Le transfert vidéo est dans les normes du marché, peut-être même un peu en dessous, alors que le mixage sonore est platement fonctionnel. Sur une note plus positive, les suppléments optent pour lapproche humoristique (évidemment) en traitant de différents aspects de la production et avec le contenu habituel: Bêtisier, vidéoclips, scènes inédites, etc.
Qualité vidéo:
3,7/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,8/5
Note finale:
3,7/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2007-04-18
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur Hitachi 51F500, Récepteur Denon AVR-487, Enceintes Denon SYS-57HT, Lecteur DVD/HD-DVD XBox 360 de Microsoft
Date de publication: 2007-04-18
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur Hitachi 51F500, Récepteur Denon AVR-487, Enceintes Denon SYS-57HT, Lecteur DVD/HD-DVD XBox 360 de Microsoft