Snakes on a Plane (WS)

Critique
Synopsis/présentation
Snakes on a Plane est un film qui aurait pu connaître un plus grand succès que celui quil a connu en salles (33 millions $ US). Comme The Blair Witch Project il y a quelques années, le film a réussi à devenir « culte » avant même sa sortie en salles. Difficile de justifier un tel engouement, mais il semble quil se soit principalement déroulé sur Internet où de jeunes internautes se sont intéressés à la production de ce film, plus précisément pour sa prémisse particulièrement simpliste. Par la création de sites Web, dautres internautes ont également pris part au nouvel engouement et ont ainsi créé tout quun phénomène par rapport à la production de luvre. En attendant de voir le film, les fans ont créé toutes sortes de produits à leffigie du film. Que se soient des chandails, des bandes dessinées ou encore certains se sont même amusés à imaginer certaines répliques (« I want these motherfucking snakes out of this motherfucking plane ») pour le film.
Les studios New Line ont bien entendu finit par tout découvrir et encore aujourdhui, il semble quils aient toujours de la difficulté à expliquer ce phénomène. Mais ils ont rapidement compris que la barre était très haute ou plutôt quils se devaient doffrir quelque chose pouvant répondre à toutes les attentes de ces fans. Cest le réalisateur David R. Ellis qui a été choisi par le studio pour diriger cette banale prémisse alors que Samuel L. Jackson a accepté aveuglément (autant au sens littéral que figuré il a accepté avant même de lire le scénario) dincarner le personnage principal. Contrairement à Blair Witch pour qui le phénomène Internet avait été plus que prolifique, il est très étonnant ici de voir que Snakes on a Plane na pas connu le succès attendu. Difficile de déterminer ce qui a pu causer cet « échec » commercial. Peut-être lengouement nétait pas si imposant quil en avait lair ou alors quil était très limité dans lunivers du Web. Est-ce la prémisse dune simplicité (stupidité ?) navrante qui en a rebuté plusieurs ? Ou encore est-ce le bouche à oreille des fans déçus qui a fait que les gens ne sont pas jetés dans les salles comme ils auraient dû le faire ?
Une chose est sûre, par rapport à cet engouement, le film déçoit. Si le phénomène est particulièrement fascinant et intriguant, il en est tout autrement du film lui-même. Comme promis, on a droit à des serpents dans lavion. Mais à cette mince prémisse, on a ajouté un peu de chair, question davoir un prétexte pour justifier la présence de tous ces reptiles. Donc, Sean (Nathan Phillips), un jeune témoin à charge, est escorté par lagent Flynn (Samuel L. Jackson) du FBI de Hawaï jusquà Los Angeles. Mais voilà, le meurtrier voulant la mort de Sean a fait mettre des centaines de serpents venimeux à bord de lavion, et en plein vol, ils sont libérés. À partir de ce moment, les fans en ont pour leur argent. Les serpents mordent tout et se glissent partout. Les scénaristes sen sont visiblement donnés à cur joie dans les effets gore et le résultat est plutôt efficace. Par contre, lutilisation des effets numériques pour créer les reptiles laisse à désirer à plusieurs occasions. De plus, on déplorera que lattaque de ces serpents soit plutôt brève et quen dernière partie du film, ils ne représentent plus le moindre danger. Et cest là que se cache le principal problème de Snakes on a Plane. Il effleure à peine à son concept. Alors que les serpents finissent dattaquer, on en redemande. Lidée était simple. Le film aurait dû lêtre. Or, il perd beaucoup trop de temps à sattarder à lintrigue policière, particulièrement laction qui se déroule au sol. Malgré tout, le réalisateur David R. Ellis sen tire bien. Il réussit, comme dans ses autres films à ne pas trop se prendre au sérieux et apporte aussi une sympathique touche dhumour au film. Il met également en scène des personnages stéréotypés au maximum (lagent de bord efféminé, le rappeur dédaigneux et une transposition peu subtile de cette chère Paris Hilton) campés par des acteurs qui réussissent néanmoins à les rendre relativement attachants.
Loin dêtre un film catastrophique, Snakes on a Plane a par contre le défaut davoir eu à répondre à certaines attentes assez élevées dune imposante masse de fans. Cest probablement ce qui explique, en partie, sa pâle performance au box-office. Sinon, si vous avez aimé les précédents films de Ellis (Final Destination 2 et Cellular, entre autres), vous devriez apprécier celui-ci. Ce que Snakes on a Plane nous aura surtout appris, ainsi quau studio New Line, est que lengouement virtuel ne rime pas toujours avec un succès assuré.
Image
Le film est offert au format dimage respectée de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
Il s'agit ici d'un superbe transfert (produit par New Line). La définition générale de limage est absolument excellente. Production récente loblige, linterpositif employé était dans un état impeccable offrant ainsi une image dune parfaite netteté ainsi quun niveau de détails et de textures irréprochables. Ainsi, les serpents vous paraîtront tout ce quil y a de plus « réel ». Le rendu des couleurs est bien entendu tout aussi admirable et offre des couleurs riches, pleinement saturées et ne souffrant daucun débordement. Idem pour les tons de peaux qui demeurent constamment naturels. Aucun problème non plus en ce qui concerne les niveaux de noirs qui sont correctement réglés et évitent ainsi tout problème de surbrillance. La qualité des dégradés est aussi irréprochable. Ils demeurent fluides et permettent un niveau de détails plus que satisfaisant dans les plans sombres qui forment une bonne partie du film. Ce sont finalement des noirs intenses et purs qui complètent ce très satisfaisant transfert.
En ce qui à trait à la partie numérique, on notera cependant une très légère suraccentuation des contours, mais rien de vraiment trop gênant.
Son
Nous retrouvons ici trois bandes sons. Deux en version anglaise aux formats Dolby Digital EX 5.1 et DTS ES 6.1, et une en version française au format Dolby Surround 2.0.
Bien que la bande son anglaise Dolby Digital EX 5.1 soit dune extrême efficacité, le mixage 6.1 lest encore plus. Bien entendu, ce dernier ne fait pas dans la subtilité. Il fait preuve dun dynamisme souvent époustouflant et agressif ainsi que dune très solide et convaincante présence. Le mixage DTS permet aussi une meilleure profondeur en ce qui concerne lenvironnement sonore. Les effets dambiophonie sont également précis et dune grande efficacité. Ainsi, tous les éléments sonores sont parfaitement intégrés au mixage. Les dialogues, bien que très peu essentiels au développement du film, sont constamment et parfaitement intelligibles alors que la trame sonore sintègre subtilement et efficacement à la bande son. Quant aux basses, elles sont brillamment et presque constamment sollicitées alors que le canal dextrêmes graves grondent profondément et efficacement à plusieurs reprises. Voilà donc ici un excitant et efficace mixage.
Des sous-titres anglais et français sont disponibles.
Suppléments/menus
Un ensemble plutôt décevant ici. Dabord, on retrouve une piste de commentaire audio animée par le réalisateur David R. Ellis, lacteur Samuel L. Jackson, les producteurs Craig Berenson et Tawny Ellis, le superviseur deffets visuels Eric Henry et lassistant réalisateur Freddie Hice. Dun superficialité rare, les différentes interventions se veulent très limitées et contemplatives, particulièrement Jackson qui est persuadé quil sagit ici du meilleur choix de rôle de sa carrière. Sinon, les différents intervenants se contentent déchanger une belle complicité et de rarement nous offrir quelques informations sur le film lui-même ou sa production.
Nous retrouvons ensuite quatre documentaires, le premier, « Pure Venom : The Making of Snakes on a Plane (18:03) », fait un survol rapide, mais efficace des dessous du tournage. Il se rapproche dangereusement du segment promotionnel, mais se laisse tout de même regarder. Vient par la suite, « Meet The Reptiles (12:56) », où nous en apprenons davantage sur Jules Sylvester, dompteur de serpents, et le travail quil a effectué sur le film. Heureusement, cest Sylvester et son équipe de dompteurs qui font la plupart des interventions. Loin du documentaire animalier, on pourra néanmoins trouver quelques informations intéressantes et pertinentes dans ce segment. « VFX Featurette (5 :19) » se concentre, quant à lui, sur lélaboration des effets visuels pour créer les serpents à lécran. Ce segment est beaucoup trop court pour véritablement proposer un intérêt quelconque. Enfin, « Snakes on a Blog (10 :04) » fait un récapitulatif assez rapide sur lévolution de lintérêt des internautes pour la production. Élaboration de sites Internet, création de produits dérivés, de répliques et de logos, le documentaire permet de mieux comprendre lengouement des gens pour le film avant même sa sortie.
On pourra également retrouver dix scènes supprimées. Se voulant bien plus souvent quautre chose des versions allongées ou alternées de scènes déjà présentes dans le film, la plupart dentre elles font preuve dun très quelconque intérêt et ne méritent pas nécessairement une attention particulière. Aussi présent, un montage de prises ratées (4:40), le vidéoclip de la chanson « Snakes on a Plane (Bring it !) (3:44)» de la formation Cobra Starship (!) ainsi quun « making of » de ce vidéoclip (5:10). Finalement, se sont différentes bandes-annonces du film qui complètent cette décevante section.
Conclusion
Snakes on a Plane est un film intéressant pour la carrière qu'il a connu. Le film a eu meilleur vie avant sa sortie en salle.
Il ne sagit pas dun si mauvais film quil ny paraît. Cest bête, cest stupide, cest grotesque, mais ça peut être très divertissant pour quiconque prend le film en faisant abstraction du phénomène qu'il a engendré.
Voilà une édition techniquement à la hauteur. Le transfert est impeccable et le mixage DTS est particulièrement excitant. On aurait par contre aimé que les suppléments ne soient pas dans le même ton que le film, particulièrement le commentaire audio conplaisant et superficiel. Mais en somme, il sagit dune honnête édition, donc recommandable.
Snakes on a Plane est un film qui aurait pu connaître un plus grand succès que celui quil a connu en salles (33 millions $ US). Comme The Blair Witch Project il y a quelques années, le film a réussi à devenir « culte » avant même sa sortie en salles. Difficile de justifier un tel engouement, mais il semble quil se soit principalement déroulé sur Internet où de jeunes internautes se sont intéressés à la production de ce film, plus précisément pour sa prémisse particulièrement simpliste. Par la création de sites Web, dautres internautes ont également pris part au nouvel engouement et ont ainsi créé tout quun phénomène par rapport à la production de luvre. En attendant de voir le film, les fans ont créé toutes sortes de produits à leffigie du film. Que se soient des chandails, des bandes dessinées ou encore certains se sont même amusés à imaginer certaines répliques (« I want these motherfucking snakes out of this motherfucking plane ») pour le film.
Les studios New Line ont bien entendu finit par tout découvrir et encore aujourdhui, il semble quils aient toujours de la difficulté à expliquer ce phénomène. Mais ils ont rapidement compris que la barre était très haute ou plutôt quils se devaient doffrir quelque chose pouvant répondre à toutes les attentes de ces fans. Cest le réalisateur David R. Ellis qui a été choisi par le studio pour diriger cette banale prémisse alors que Samuel L. Jackson a accepté aveuglément (autant au sens littéral que figuré il a accepté avant même de lire le scénario) dincarner le personnage principal. Contrairement à Blair Witch pour qui le phénomène Internet avait été plus que prolifique, il est très étonnant ici de voir que Snakes on a Plane na pas connu le succès attendu. Difficile de déterminer ce qui a pu causer cet « échec » commercial. Peut-être lengouement nétait pas si imposant quil en avait lair ou alors quil était très limité dans lunivers du Web. Est-ce la prémisse dune simplicité (stupidité ?) navrante qui en a rebuté plusieurs ? Ou encore est-ce le bouche à oreille des fans déçus qui a fait que les gens ne sont pas jetés dans les salles comme ils auraient dû le faire ?
Une chose est sûre, par rapport à cet engouement, le film déçoit. Si le phénomène est particulièrement fascinant et intriguant, il en est tout autrement du film lui-même. Comme promis, on a droit à des serpents dans lavion. Mais à cette mince prémisse, on a ajouté un peu de chair, question davoir un prétexte pour justifier la présence de tous ces reptiles. Donc, Sean (Nathan Phillips), un jeune témoin à charge, est escorté par lagent Flynn (Samuel L. Jackson) du FBI de Hawaï jusquà Los Angeles. Mais voilà, le meurtrier voulant la mort de Sean a fait mettre des centaines de serpents venimeux à bord de lavion, et en plein vol, ils sont libérés. À partir de ce moment, les fans en ont pour leur argent. Les serpents mordent tout et se glissent partout. Les scénaristes sen sont visiblement donnés à cur joie dans les effets gore et le résultat est plutôt efficace. Par contre, lutilisation des effets numériques pour créer les reptiles laisse à désirer à plusieurs occasions. De plus, on déplorera que lattaque de ces serpents soit plutôt brève et quen dernière partie du film, ils ne représentent plus le moindre danger. Et cest là que se cache le principal problème de Snakes on a Plane. Il effleure à peine à son concept. Alors que les serpents finissent dattaquer, on en redemande. Lidée était simple. Le film aurait dû lêtre. Or, il perd beaucoup trop de temps à sattarder à lintrigue policière, particulièrement laction qui se déroule au sol. Malgré tout, le réalisateur David R. Ellis sen tire bien. Il réussit, comme dans ses autres films à ne pas trop se prendre au sérieux et apporte aussi une sympathique touche dhumour au film. Il met également en scène des personnages stéréotypés au maximum (lagent de bord efféminé, le rappeur dédaigneux et une transposition peu subtile de cette chère Paris Hilton) campés par des acteurs qui réussissent néanmoins à les rendre relativement attachants.
Loin dêtre un film catastrophique, Snakes on a Plane a par contre le défaut davoir eu à répondre à certaines attentes assez élevées dune imposante masse de fans. Cest probablement ce qui explique, en partie, sa pâle performance au box-office. Sinon, si vous avez aimé les précédents films de Ellis (Final Destination 2 et Cellular, entre autres), vous devriez apprécier celui-ci. Ce que Snakes on a Plane nous aura surtout appris, ainsi quau studio New Line, est que lengouement virtuel ne rime pas toujours avec un succès assuré.
Image
Le film est offert au format dimage respectée de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
Il s'agit ici d'un superbe transfert (produit par New Line). La définition générale de limage est absolument excellente. Production récente loblige, linterpositif employé était dans un état impeccable offrant ainsi une image dune parfaite netteté ainsi quun niveau de détails et de textures irréprochables. Ainsi, les serpents vous paraîtront tout ce quil y a de plus « réel ». Le rendu des couleurs est bien entendu tout aussi admirable et offre des couleurs riches, pleinement saturées et ne souffrant daucun débordement. Idem pour les tons de peaux qui demeurent constamment naturels. Aucun problème non plus en ce qui concerne les niveaux de noirs qui sont correctement réglés et évitent ainsi tout problème de surbrillance. La qualité des dégradés est aussi irréprochable. Ils demeurent fluides et permettent un niveau de détails plus que satisfaisant dans les plans sombres qui forment une bonne partie du film. Ce sont finalement des noirs intenses et purs qui complètent ce très satisfaisant transfert.
En ce qui à trait à la partie numérique, on notera cependant une très légère suraccentuation des contours, mais rien de vraiment trop gênant.
Son
Nous retrouvons ici trois bandes sons. Deux en version anglaise aux formats Dolby Digital EX 5.1 et DTS ES 6.1, et une en version française au format Dolby Surround 2.0.
Bien que la bande son anglaise Dolby Digital EX 5.1 soit dune extrême efficacité, le mixage 6.1 lest encore plus. Bien entendu, ce dernier ne fait pas dans la subtilité. Il fait preuve dun dynamisme souvent époustouflant et agressif ainsi que dune très solide et convaincante présence. Le mixage DTS permet aussi une meilleure profondeur en ce qui concerne lenvironnement sonore. Les effets dambiophonie sont également précis et dune grande efficacité. Ainsi, tous les éléments sonores sont parfaitement intégrés au mixage. Les dialogues, bien que très peu essentiels au développement du film, sont constamment et parfaitement intelligibles alors que la trame sonore sintègre subtilement et efficacement à la bande son. Quant aux basses, elles sont brillamment et presque constamment sollicitées alors que le canal dextrêmes graves grondent profondément et efficacement à plusieurs reprises. Voilà donc ici un excitant et efficace mixage.
Des sous-titres anglais et français sont disponibles.
Suppléments/menus
Un ensemble plutôt décevant ici. Dabord, on retrouve une piste de commentaire audio animée par le réalisateur David R. Ellis, lacteur Samuel L. Jackson, les producteurs Craig Berenson et Tawny Ellis, le superviseur deffets visuels Eric Henry et lassistant réalisateur Freddie Hice. Dun superficialité rare, les différentes interventions se veulent très limitées et contemplatives, particulièrement Jackson qui est persuadé quil sagit ici du meilleur choix de rôle de sa carrière. Sinon, les différents intervenants se contentent déchanger une belle complicité et de rarement nous offrir quelques informations sur le film lui-même ou sa production.
Nous retrouvons ensuite quatre documentaires, le premier, « Pure Venom : The Making of Snakes on a Plane (18:03) », fait un survol rapide, mais efficace des dessous du tournage. Il se rapproche dangereusement du segment promotionnel, mais se laisse tout de même regarder. Vient par la suite, « Meet The Reptiles (12:56) », où nous en apprenons davantage sur Jules Sylvester, dompteur de serpents, et le travail quil a effectué sur le film. Heureusement, cest Sylvester et son équipe de dompteurs qui font la plupart des interventions. Loin du documentaire animalier, on pourra néanmoins trouver quelques informations intéressantes et pertinentes dans ce segment. « VFX Featurette (5 :19) » se concentre, quant à lui, sur lélaboration des effets visuels pour créer les serpents à lécran. Ce segment est beaucoup trop court pour véritablement proposer un intérêt quelconque. Enfin, « Snakes on a Blog (10 :04) » fait un récapitulatif assez rapide sur lévolution de lintérêt des internautes pour la production. Élaboration de sites Internet, création de produits dérivés, de répliques et de logos, le documentaire permet de mieux comprendre lengouement des gens pour le film avant même sa sortie.
On pourra également retrouver dix scènes supprimées. Se voulant bien plus souvent quautre chose des versions allongées ou alternées de scènes déjà présentes dans le film, la plupart dentre elles font preuve dun très quelconque intérêt et ne méritent pas nécessairement une attention particulière. Aussi présent, un montage de prises ratées (4:40), le vidéoclip de la chanson « Snakes on a Plane (Bring it !) (3:44)» de la formation Cobra Starship (!) ainsi quun « making of » de ce vidéoclip (5:10). Finalement, se sont différentes bandes-annonces du film qui complètent cette décevante section.
Conclusion
Snakes on a Plane est un film intéressant pour la carrière qu'il a connu. Le film a eu meilleur vie avant sa sortie en salle.
Il ne sagit pas dun si mauvais film quil ny paraît. Cest bête, cest stupide, cest grotesque, mais ça peut être très divertissant pour quiconque prend le film en faisant abstraction du phénomène qu'il a engendré.
Voilà une édition techniquement à la hauteur. Le transfert est impeccable et le mixage DTS est particulièrement excitant. On aurait par contre aimé que les suppléments ne soient pas dans le même ton que le film, particulièrement le commentaire audio conplaisant et superficiel. Mais en somme, il sagit dune honnête édition, donc recommandable.
Qualité vidéo:
4,2/5
Qualité audio:
4,3/5
Suppléments:
3,0/5
Rapport qualité/prix:
3,7/5
Note finale:
3,8/5
Auteur: Frédéric Bouchard
Date de publication: 2007-02-05
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur Toshiba 27A43C, Récepteur JVC TH-A30
Date de publication: 2007-02-05
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur Toshiba 27A43C, Récepteur JVC TH-A30