John Tucker Must Die

Critique
Synopsis/présentation
En étant le capitaine et le meilleur pointeur de léquipe de basketball de son lycée américain, John Tucker (Jesse Metcalfe) profite dune popularité inébranlable. Beau gosse de nature, toutes les filles veulent être avec lui, alors que tous les gars veulent être lui. Évidemment, Tucker ne se gêne pas pour capitaliser sur sa popularité. Il se permet même de fréquenter trois filles en même temps, sans que les autres le sache: La capitaine des meneuse de claques (Ashanti), la végétarienne au secours de lenvironnement (Sophia Bush) et lambitieuse responsable du club audio-visuel (Arielle Kebbel). Même si ces trois demoiselles ne se connaissent pas, elles se voient placer dans la même équipe de volleyball durant un cours déducation physique. Potineuses comme toutes adolescentes, elles réalisent rapidement quelles fréquentent le même garçon. Voulant se venger, elles sunissent dans le but de gâcher la vie de John Tucker. Pour y parvenir, elles convainquent une nouvelle élève (Brittany Snow) dembarquer dans leur campagne de salissage afin de ruiner la vie de Tucker.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9, ainsi que dans un format recadré de 1.33:1 provenant dun transfert 4:3.
Linterpositif utilisé pour ce film est propre et naffiche strictement aucun parasite. La définition générale de limage est excellente, sans pour autant se classer parmi les meilleurs transferts. Le niveau de détails est également de haut niveau, avec des textures correctement reproduites et un très bon niveau de précision. Les couleurs sont impeccables, sans débordement ou défaut de la sorte. La palette, vive et aussi variée quil est possible de lêtre, est reproduite sans problèmes. Les tons de peaux demeurent évidemment naturels. Le niveau de noirs est correctement ajusté, alors que les contrastes ne causent aucun problème majeur. Ceci étant dit, John Tucker nest pas un film qui met à dure épreuve sa cinématographie. Les dégradés sont fluides et ne bloquent jamais, menant à des noirs profonds et purs.
Au niveau de la compression, la présence de deux montages sur la même face du disque naffecte en rien la qualité du transfert puisque ceux-ci utilisent la technique du « seemless branching » (aiguillage automatique). La durée relativement courte du film et des suppléments limite aussi les traces de compression abusive.
Son
Pour les deux transferts et les deux montages du film, trois mixages sont offerts: la version originale anglaise au format Dolby Digital 5.1 et les doublages français et espagnols (Dolby 2.0 Surround). Il est à noter que la seule et unique scène ajoutée au montage non censuré nest pas doublée, uniquement sous-titrée. Une piste de commentaires audio en compagnie de la réalisatrice Betty Thomas et du monteur Matthew Friedman est disponible.
Le mixage anglais se limite aux mêmes attributs que les autres bandes sonores de comédies dpour adolescents, cest-à-dire un mixage strictement fonctionnel, avec seulement quelques effets sonores dambiance ça et là. Ainsi, lenvironnement sonore demeure relativement peu développé. Les dialogues sont nets et parfaitement intelligibles, sans défauts de captation. Puisque le film se base principalement sur les gags visuels et sur les dialogues, il est normal que le mixage mette lemphase sur ces dernièrs. La musique, variée et au goût des jeunes, est reproduite correctement, avec une subtile utilisation des canaux dambiophonie. Les basses supportent bien le mixage, bien que celui-ci ne les exploite évidemment pas beaucoup. Les extrêmes graves se font ressentir uniquement à travers la trame sonore et de rares effets sonores.
Des sous-titres anglais et espagnols sont disponibles pour tout le film, alors que ceux en Français apparaissent uniquement pour traduire les écriteaux et la scène ajoutée.
Suppléments/menus
Conclusion
Si on devait interdire la distribution de films avec les pires stéréotypes au monde, John Tucker Must Die serait la perle rare de la contrebande. Des personnages ridiculement clichés aux situations atrocement exagérées, JTMD noffre absolument rien de nouveau. Évidemment, comme tout « bon » film dados, lhistoire prétend donner une leçon de vie aux jeunes, mais celle présentée ici est particulièrement douteuse: On encourage la promiscuité et la polygamie, en plus de supposer que tous les beaux-parleurs peuvent se tirer de situations moralement inacceptables.
Encore plus insultant, ce film confirme le dicton qui veut que les pires films reçoivent les meilleurs transferts. Limage de John Tucker Must Die est dexcellent niveau, mais quand même loin dêtre de référence. Le mixage, dun autre côté, se veut fonctionnel et efficace. Les suppléments sont variés, mais divertissants plutôt que réellement informatifs.
En étant le capitaine et le meilleur pointeur de léquipe de basketball de son lycée américain, John Tucker (Jesse Metcalfe) profite dune popularité inébranlable. Beau gosse de nature, toutes les filles veulent être avec lui, alors que tous les gars veulent être lui. Évidemment, Tucker ne se gêne pas pour capitaliser sur sa popularité. Il se permet même de fréquenter trois filles en même temps, sans que les autres le sache: La capitaine des meneuse de claques (Ashanti), la végétarienne au secours de lenvironnement (Sophia Bush) et lambitieuse responsable du club audio-visuel (Arielle Kebbel). Même si ces trois demoiselles ne se connaissent pas, elles se voient placer dans la même équipe de volleyball durant un cours déducation physique. Potineuses comme toutes adolescentes, elles réalisent rapidement quelles fréquentent le même garçon. Voulant se venger, elles sunissent dans le but de gâcher la vie de John Tucker. Pour y parvenir, elles convainquent une nouvelle élève (Brittany Snow) dembarquer dans leur campagne de salissage afin de ruiner la vie de Tucker.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 1.85:1 daprès un transfert 16:9, ainsi que dans un format recadré de 1.33:1 provenant dun transfert 4:3.
Linterpositif utilisé pour ce film est propre et naffiche strictement aucun parasite. La définition générale de limage est excellente, sans pour autant se classer parmi les meilleurs transferts. Le niveau de détails est également de haut niveau, avec des textures correctement reproduites et un très bon niveau de précision. Les couleurs sont impeccables, sans débordement ou défaut de la sorte. La palette, vive et aussi variée quil est possible de lêtre, est reproduite sans problèmes. Les tons de peaux demeurent évidemment naturels. Le niveau de noirs est correctement ajusté, alors que les contrastes ne causent aucun problème majeur. Ceci étant dit, John Tucker nest pas un film qui met à dure épreuve sa cinématographie. Les dégradés sont fluides et ne bloquent jamais, menant à des noirs profonds et purs.
Au niveau de la compression, la présence de deux montages sur la même face du disque naffecte en rien la qualité du transfert puisque ceux-ci utilisent la technique du « seemless branching » (aiguillage automatique). La durée relativement courte du film et des suppléments limite aussi les traces de compression abusive.
Son
Pour les deux transferts et les deux montages du film, trois mixages sont offerts: la version originale anglaise au format Dolby Digital 5.1 et les doublages français et espagnols (Dolby 2.0 Surround). Il est à noter que la seule et unique scène ajoutée au montage non censuré nest pas doublée, uniquement sous-titrée. Une piste de commentaires audio en compagnie de la réalisatrice Betty Thomas et du monteur Matthew Friedman est disponible.
Le mixage anglais se limite aux mêmes attributs que les autres bandes sonores de comédies dpour adolescents, cest-à-dire un mixage strictement fonctionnel, avec seulement quelques effets sonores dambiance ça et là. Ainsi, lenvironnement sonore demeure relativement peu développé. Les dialogues sont nets et parfaitement intelligibles, sans défauts de captation. Puisque le film se base principalement sur les gags visuels et sur les dialogues, il est normal que le mixage mette lemphase sur ces dernièrs. La musique, variée et au goût des jeunes, est reproduite correctement, avec une subtile utilisation des canaux dambiophonie. Les basses supportent bien le mixage, bien que celui-ci ne les exploite évidemment pas beaucoup. Les extrêmes graves se font ressentir uniquement à travers la trame sonore et de rares effets sonores.
Des sous-titres anglais et espagnols sont disponibles pour tout le film, alors que ceux en Français apparaissent uniquement pour traduire les écriteaux et la scène ajoutée.
Suppléments/menus
Conclusion
Si on devait interdire la distribution de films avec les pires stéréotypes au monde, John Tucker Must Die serait la perle rare de la contrebande. Des personnages ridiculement clichés aux situations atrocement exagérées, JTMD noffre absolument rien de nouveau. Évidemment, comme tout « bon » film dados, lhistoire prétend donner une leçon de vie aux jeunes, mais celle présentée ici est particulièrement douteuse: On encourage la promiscuité et la polygamie, en plus de supposer que tous les beaux-parleurs peuvent se tirer de situations moralement inacceptables.
Encore plus insultant, ce film confirme le dicton qui veut que les pires films reçoivent les meilleurs transferts. Limage de John Tucker Must Die est dexcellent niveau, mais quand même loin dêtre de référence. Le mixage, dun autre côté, se veut fonctionnel et efficace. Les suppléments sont variés, mais divertissants plutôt que réellement informatifs.
Qualité vidéo:
3,9/5
Qualité audio:
3,6/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,7/5
Note finale:
3,8/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2006-12-20
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2006-12-20
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700