Point Break (Pure Adrenaline Edition)

Critique
Synopsis/présentation
La carrière de lacteur Keanu Reeves est un parfait exemple du parcour vers la célébrité (au sens hollywoodien). Alors que son début de carrière consiste principalement de téléfilms ou de long métrages à petit budget, ses rôles sont également limités à des personnages dramatiques. En 1991, la situation change alors quil joue aux côtés de Patrick Swayze dans Point Break. Reeves y joue un agent du FBI nommé Johnny Utah, spécialisé dans les vols de banques. Afin de résoudre une série de vols en Californie, il sinfiltre parmi un groupe de surfers en éternelle quête de sensations fortes. Après sêtre lié damitié avec ceux-ci, il réalise à son grand regret quils sont les auteurs de tous ces crimes. Dune situation à lautre, Utah aura des choix à faire entre la fidélité et le travail, entre lamour et le devoir.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un nouveau transfert 16:9, différent de celui produit pour lédition parue en 2001.
Malgré les quinze ans du film, linterpositif utilisé naffiche que très peu de parasites. Quelques points noirs apparaissent ça et là, mais rien de majeur ou de trop intrusif. La définition générale varie, mais demeure généralement bonne. Certains plans paraissent plus doux, mais ceux-ci sont rares. Le niveau de détails nest pas impressionnant; elles permettent ce pendant de déceler les textures sans problèmes. Le début du film nous présente une image à la palette limitée, un choix évidemment artistique. Cependant, quand laction se déplace sur la plage, la palette prend vie et les couleurs abondent. Malgré une palette variée, ce transfert ne permet pas den profiter au maximum puisque celle-ci manque légèrement de saturation. On se serait attendu à des couleurs plus vives. Le niveau des noirs est correctement ajuté, alors que les contrastes causent rarement problèmes. Les dégradés sont fluides, mais bloquent à quelques reprises. Les noirs paraissent purs, quoi que inconsistant dans leurs profondeurs.
Numériquement, les halos et effets de crénelage sont maintenus à un minimum, tout comme les effets fantômes dans les parties sombres.
Le changement de couche survient après environ 58 minutes et 35 secondes, soit entre le treizième et quatorzième chapitre.
Son
Un grand total de quatre bandes sonores accompagne cette édition. Malheureusement, la bande-sonore DTS présente sur lédition précédente a été délaissée. Nous retrouvons donc deux mixages en version originale anglais (Dolby Digital 5.1 et Dolby 4.0 Surround) et les doublages français (Dolby 2.0 Surround) et espagnol (Mono).
Pour un film daction, le mixage 5.1 satisfait aux exigences. Certes, on ne peut le comparer aux bandes sonores des récentes productions, mais il réussit tout de même à créer un environnement sonore immersif et dynamique. Les sons dambiance abondent, que ce soit la pluie, le vent ou les vagues, et accentuent le réalisme du mixage. Très peu de transitions dun canal à lautre sont audibles, sauf peut-être dans le champ sonore avant. Les dialogues demeurent nets et intelligibles, même quand les sons dambiance envahissent lenvironnement sonore. La trame sonore accompagne le mixage avec subtilité ou intensité, selon le cas. Les basses supportent adéquatement le mixage, alors que le caisson dextrêmes graves (LFE, canal .1) gronde au fil des vagues et du vent.
Seuls des sous-titres espagnols et anglais sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Point Break nest certainement pas à la hauteur de Speed, mais ce film a quand même donné la chance à Keanu Reeves de séloigner de ses rôles habituels et dembarquer dans laction à son avantage. Sans être mémorable, Point Break demeure un bon divertissement dans ce genre.
Le nouveau transfert produit pour cette édition rend justice à la photographie du film, rendant avec justesse les splendides plans densemble, quil sagisse des séquences en surf ou en parachute. Le mixage sonore remplit amplement son role. Quelques suppléments sont offerts, mais sans réel intérêt.
La carrière de lacteur Keanu Reeves est un parfait exemple du parcour vers la célébrité (au sens hollywoodien). Alors que son début de carrière consiste principalement de téléfilms ou de long métrages à petit budget, ses rôles sont également limités à des personnages dramatiques. En 1991, la situation change alors quil joue aux côtés de Patrick Swayze dans Point Break. Reeves y joue un agent du FBI nommé Johnny Utah, spécialisé dans les vols de banques. Afin de résoudre une série de vols en Californie, il sinfiltre parmi un groupe de surfers en éternelle quête de sensations fortes. Après sêtre lié damitié avec ceux-ci, il réalise à son grand regret quils sont les auteurs de tous ces crimes. Dune situation à lautre, Utah aura des choix à faire entre la fidélité et le travail, entre lamour et le devoir.
Image
Le film est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un nouveau transfert 16:9, différent de celui produit pour lédition parue en 2001.
Malgré les quinze ans du film, linterpositif utilisé naffiche que très peu de parasites. Quelques points noirs apparaissent ça et là, mais rien de majeur ou de trop intrusif. La définition générale varie, mais demeure généralement bonne. Certains plans paraissent plus doux, mais ceux-ci sont rares. Le niveau de détails nest pas impressionnant; elles permettent ce pendant de déceler les textures sans problèmes. Le début du film nous présente une image à la palette limitée, un choix évidemment artistique. Cependant, quand laction se déplace sur la plage, la palette prend vie et les couleurs abondent. Malgré une palette variée, ce transfert ne permet pas den profiter au maximum puisque celle-ci manque légèrement de saturation. On se serait attendu à des couleurs plus vives. Le niveau des noirs est correctement ajuté, alors que les contrastes causent rarement problèmes. Les dégradés sont fluides, mais bloquent à quelques reprises. Les noirs paraissent purs, quoi que inconsistant dans leurs profondeurs.
Numériquement, les halos et effets de crénelage sont maintenus à un minimum, tout comme les effets fantômes dans les parties sombres.
Le changement de couche survient après environ 58 minutes et 35 secondes, soit entre le treizième et quatorzième chapitre.
Son
Un grand total de quatre bandes sonores accompagne cette édition. Malheureusement, la bande-sonore DTS présente sur lédition précédente a été délaissée. Nous retrouvons donc deux mixages en version originale anglais (Dolby Digital 5.1 et Dolby 4.0 Surround) et les doublages français (Dolby 2.0 Surround) et espagnol (Mono).
Pour un film daction, le mixage 5.1 satisfait aux exigences. Certes, on ne peut le comparer aux bandes sonores des récentes productions, mais il réussit tout de même à créer un environnement sonore immersif et dynamique. Les sons dambiance abondent, que ce soit la pluie, le vent ou les vagues, et accentuent le réalisme du mixage. Très peu de transitions dun canal à lautre sont audibles, sauf peut-être dans le champ sonore avant. Les dialogues demeurent nets et intelligibles, même quand les sons dambiance envahissent lenvironnement sonore. La trame sonore accompagne le mixage avec subtilité ou intensité, selon le cas. Les basses supportent adéquatement le mixage, alors que le caisson dextrêmes graves (LFE, canal .1) gronde au fil des vagues et du vent.
Seuls des sous-titres espagnols et anglais sont disponibles.
Suppléments/menus
Conclusion
Point Break nest certainement pas à la hauteur de Speed, mais ce film a quand même donné la chance à Keanu Reeves de séloigner de ses rôles habituels et dembarquer dans laction à son avantage. Sans être mémorable, Point Break demeure un bon divertissement dans ce genre.
Le nouveau transfert produit pour cette édition rend justice à la photographie du film, rendant avec justesse les splendides plans densemble, quil sagisse des séquences en surf ou en parachute. Le mixage sonore remplit amplement son role. Quelques suppléments sont offerts, mais sans réel intérêt.
Qualité vidéo:
3,7/5
Qualité audio:
3,8/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,7/5
Note finale:
3,7/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2006-10-27
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2006-10-27
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700