Jewel Of The Nile (Special Edition)

Critique
Synopsis/présentation
Depuis les quelques mois qui ont suivi leurs rencontre, Joan et Colton ont voyagé à bord de leur voilier, de port en port. Arrêté à la Riviera, Joan souffre maintenant du syndrome de la page blanche et ne semble plus en mesure décrire ses romans avec la même aisance quavant. Peut-être est-ce parce quelle néprouve pas le même amour quavant pour son héros. Alors quelle souhaite se ranger et passer à autres choses, Colton souhaite continuer sa vie de nomade. Lors dune réception organisée en son honneur, Joan fait la rencontre dun riche et puissant égyptien qui est sur le point de devenir empereur du Nil. Ce dernier lui demande de laccompagner afin de rédiger sa biographie. Elle accepte, au grand regret de Colton.
Tout juste avant de partir, une tentative de meurtre envers le futur empereur a lieu, ce qui mène Colton à croire que Joan est dans une situation trouble. Accompagné de Ralph, le voyou rencontré en Colombie et dun groupe de rebelles, Colton se rend en Afrique du Nord pour secourir sa douce et peut-être mettre la main sur le joyau du Nil par la même occasion.
Image
À linstar de son prédécesseur, The Jewel of the Nile est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
Comme cest souvent le cas, la plus grande partie des efforts de restauration ont été investis dans le premier opus (Romancing The Stone), résultant en un transfert de qualité légèrement inférieure pour la suite. Ainsi, le matériel source affiche autant, sinon plus de parasites visuels, qui, comme pour le premier, demeurent peu intrusifs. La définition générale de limage est bonne, mais de nombreux plans paraissent plus flous quespéré. Ceci affecte évidemment le niveau de détails, légèrement inférieur au transfert du premier film. Les textures sont correctement reproduites, mais quelques-uns nous échappent. La palette, moins diversifiée que pour Romancing the Stone, est reproduite avec soins et précision. On déplore cependant que la cinématographie nexploite pas davantage les paysages, comme dans Romancing The Stone. Les tons de peaux sont généralement naturels, mais un trop pâles par moments. Le niveau des noirs ne cause aucun problème, alors que les contrastes sont bien gérés. Les dégradés paraissent fluides, mais bloquent parfois prématurément. Les noirs sont profonds et purs, sans trace deffet fantôme.
Tout comme le transfert du premier opus, un halo causé par une suraccentuation des contours est souvent visible au cours du film. Les meilleurs exemples proviennent du nom des acteurs au début du film. On voit clairement le halo en question.
Son
Cette fois-ci, la version originale anglaise est offerte au format Dolby 4.0 Surround, alors que le doublage français est au format Dolby 2.0 stéréo. Dernier au fil darrivée, le doublage espagnol se limite au format mono.
Ce mixage Dolby 4.0 Surround offre un dynamisme supérieur à un mixage Dolby 2.0 Surround, mais évidemment loin des avantages dun mixage 5.1 (ce qui aurait été préférable). La spatialité n'est pas pleinement développée, puisque seulement quelques effets sonores (explosions, réacteur dun avion, ) et la musique profitent du canal arrière. Cependant, le fait davoir trois canaux dédiés aux enceintes avant permet doffrir de meilleures transitions gauche/droite. Avec un canal consacré exclusivement à lenceinte centrale, les dialogues paraissent nets et intelligibles, bien que la captation soit parfois défaillante (distorsion de quelques paroles, volume des dialogues trop bas, etc.). Les basses supportent adéquatement le mixage en général, mais lajout dun canal dédié aux extrêmes graves aurait donné beaucoup plus de profondeur au tout.
Des sous-titres anglais et espagnols sont offerts.
Suppléments/menus
Conclusion
Plusieurs cinéphiles se sont permis détablir des parallèles assez serrés entre les deux films de la série (Romancing the Stone et The Jewel of the Nile) et les Indiana Jones. Certes, certains éléments se ressemblent, mais il faut accepter le fait quen terme de films, ces uvres jouent sur des registres différents.
Cette réédition nest malheureusement pas à la hauteur de celle de Romancing the Stone, mais représente tout de même un pas considérable dans le bonne direction lorsque comparée à lédition précédente. Les suppléments sont intéressants, avec comme pièce de résistance une piste de commentaires audio en compagnie du réalisateur (Lewis Teague était sûrement moins occupé que Robert Zemeckis).
Depuis les quelques mois qui ont suivi leurs rencontre, Joan et Colton ont voyagé à bord de leur voilier, de port en port. Arrêté à la Riviera, Joan souffre maintenant du syndrome de la page blanche et ne semble plus en mesure décrire ses romans avec la même aisance quavant. Peut-être est-ce parce quelle néprouve pas le même amour quavant pour son héros. Alors quelle souhaite se ranger et passer à autres choses, Colton souhaite continuer sa vie de nomade. Lors dune réception organisée en son honneur, Joan fait la rencontre dun riche et puissant égyptien qui est sur le point de devenir empereur du Nil. Ce dernier lui demande de laccompagner afin de rédiger sa biographie. Elle accepte, au grand regret de Colton.
Tout juste avant de partir, une tentative de meurtre envers le futur empereur a lieu, ce qui mène Colton à croire que Joan est dans une situation trouble. Accompagné de Ralph, le voyou rencontré en Colombie et dun groupe de rebelles, Colton se rend en Afrique du Nord pour secourir sa douce et peut-être mettre la main sur le joyau du Nil par la même occasion.
Image
À linstar de son prédécesseur, The Jewel of the Nile est présenté au format dimage respecté de 2.35:1 daprès un transfert 16:9.
Comme cest souvent le cas, la plus grande partie des efforts de restauration ont été investis dans le premier opus (Romancing The Stone), résultant en un transfert de qualité légèrement inférieure pour la suite. Ainsi, le matériel source affiche autant, sinon plus de parasites visuels, qui, comme pour le premier, demeurent peu intrusifs. La définition générale de limage est bonne, mais de nombreux plans paraissent plus flous quespéré. Ceci affecte évidemment le niveau de détails, légèrement inférieur au transfert du premier film. Les textures sont correctement reproduites, mais quelques-uns nous échappent. La palette, moins diversifiée que pour Romancing the Stone, est reproduite avec soins et précision. On déplore cependant que la cinématographie nexploite pas davantage les paysages, comme dans Romancing The Stone. Les tons de peaux sont généralement naturels, mais un trop pâles par moments. Le niveau des noirs ne cause aucun problème, alors que les contrastes sont bien gérés. Les dégradés paraissent fluides, mais bloquent parfois prématurément. Les noirs sont profonds et purs, sans trace deffet fantôme.
Tout comme le transfert du premier opus, un halo causé par une suraccentuation des contours est souvent visible au cours du film. Les meilleurs exemples proviennent du nom des acteurs au début du film. On voit clairement le halo en question.
Son
Cette fois-ci, la version originale anglaise est offerte au format Dolby 4.0 Surround, alors que le doublage français est au format Dolby 2.0 stéréo. Dernier au fil darrivée, le doublage espagnol se limite au format mono.
Ce mixage Dolby 4.0 Surround offre un dynamisme supérieur à un mixage Dolby 2.0 Surround, mais évidemment loin des avantages dun mixage 5.1 (ce qui aurait été préférable). La spatialité n'est pas pleinement développée, puisque seulement quelques effets sonores (explosions, réacteur dun avion, ) et la musique profitent du canal arrière. Cependant, le fait davoir trois canaux dédiés aux enceintes avant permet doffrir de meilleures transitions gauche/droite. Avec un canal consacré exclusivement à lenceinte centrale, les dialogues paraissent nets et intelligibles, bien que la captation soit parfois défaillante (distorsion de quelques paroles, volume des dialogues trop bas, etc.). Les basses supportent adéquatement le mixage en général, mais lajout dun canal dédié aux extrêmes graves aurait donné beaucoup plus de profondeur au tout.
Des sous-titres anglais et espagnols sont offerts.
Suppléments/menus
Conclusion
Plusieurs cinéphiles se sont permis détablir des parallèles assez serrés entre les deux films de la série (Romancing the Stone et The Jewel of the Nile) et les Indiana Jones. Certes, certains éléments se ressemblent, mais il faut accepter le fait quen terme de films, ces uvres jouent sur des registres différents.
Cette réédition nest malheureusement pas à la hauteur de celle de Romancing the Stone, mais représente tout de même un pas considérable dans le bonne direction lorsque comparée à lédition précédente. Les suppléments sont intéressants, avec comme pièce de résistance une piste de commentaires audio en compagnie du réalisateur (Lewis Teague était sûrement moins occupé que Robert Zemeckis).
Qualité vidéo:
3,7/5
Qualité audio:
3,5/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
3,6/5
Note finale:
3,6/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2006-09-23
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2006-09-23
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700