Dan Aykroyd Unplugged On UFO

Critique
Synopsis/présentation
À regarder la pochette de ce documentaire, on sattend de voir lacteur Dan Aykroyd présenter des reportages, entrevues ou séquences vidéos portant sur les O.V.N.I. Étrangement, tel nest pas le cas ! En fait, nous retrouvons plutôt une interminable entrevue entre le réalisateur/producteur/compositeur (de ce documentaire) David B. Serada et Aykroyd lui-même. Dérivant de sujets dactualités et dévénements mémorables, Serada donne la chance à Aykroyd de sexprimer sur les O.V.N.I. Même sil est un grand amateur du paranormal, Aykroyd répond avec désintérêt (cigarette à la main) aux questions du réalisateur. Filmé avec peu de moyens, les vides sont comblés par des séquences darchives, des photos dorigine douteuse et des entrevues avec des supposés experts dans le domaine. Parfois, les réponses de Aykroyd se limitent à un hochement de la tête en approbation ou un murmure à la «Huhum»...
Image
Le documentaire est offert au format dimage respecté de 1.66:1 daprès un transfert 4:3.
Pour les segments dentrevues, la qualité du transfert en général est plutôt décevante. Lapparence donne limpression de regarder une vidéo amateur. Bien que le matériel source ne présente aucun parasite, la définition générale de limage laisse grandement à désirer. Les textures sont difficilement perceptibles et le niveau de détails est minimal. Les couleurs sont souvent inexactes, affichant un manque flagrant de nuances. Les contrastes semblent souvent trop élevés. Seul point positif de ce transfert, les noirs sont profonds et purs. Les dégradés, par contre, bloquent prématurément.
Numériquement, la situation nest guère mieux. Tous les défauts inimaginables sont visibles. Le plus notable se présente sous la forme dun effet de crénelage. Un halo nuit également à limage, tout comme un fourmillement incessant.
Son
Au niveau sonore, la seule bande-son disponible consiste en la version originale anglaise au format Dolby 2.0 Stéréo.
Dès la première écoute, tout semble indiquer que lenregistrement sonore provient de la caméra elle-même, sans équipement supplémentaire. En plus davoir un dynamisme plutôt limité, la captation nest pas sans défauts. De nombreux parasites sonores sont perceptibles. Les paroles demeurent heureusement nettes et intelligibles, mais nont pas le naturel souhaité. On ne peut pas parler dune véritable trame sonore, puisque la seule musique audible ne consiste que dune redondante mélodie assez basique. Les basses sont pratiquement nulles, sans compter quaucun aspect de cette bande sonore ne les exploite. Ceci sapplique uniquement pour lentrevue principale avec Aykroyd, car les autres extraits sont inconsistants. Par exemple, un ancien ministre de la défense canadienne participe à une conférence, mais lenregistrement provient dune caméra vidéo située loin de la scène
Seuls des sous-titres anglais sous forme de Close Captions sons offerts.
Suppléments/menus
Conclusion
Résumons simplement; le tout a lair produit par des amateurs. Quand on est face-à-face avec un acteur du calibre de Dan Aykroyd, on sattend à quelque chose de plus professionnel. Même la captation sonore laisse grandement à désirer. Les suppléments nincluent quune vulgaire bande-annonce. Bref, pour un véritable documentaire sur les objets volant non identifiés, il faudra attendre une uvre plus sérieuse
À regarder la pochette de ce documentaire, on sattend de voir lacteur Dan Aykroyd présenter des reportages, entrevues ou séquences vidéos portant sur les O.V.N.I. Étrangement, tel nest pas le cas ! En fait, nous retrouvons plutôt une interminable entrevue entre le réalisateur/producteur/compositeur (de ce documentaire) David B. Serada et Aykroyd lui-même. Dérivant de sujets dactualités et dévénements mémorables, Serada donne la chance à Aykroyd de sexprimer sur les O.V.N.I. Même sil est un grand amateur du paranormal, Aykroyd répond avec désintérêt (cigarette à la main) aux questions du réalisateur. Filmé avec peu de moyens, les vides sont comblés par des séquences darchives, des photos dorigine douteuse et des entrevues avec des supposés experts dans le domaine. Parfois, les réponses de Aykroyd se limitent à un hochement de la tête en approbation ou un murmure à la «Huhum»...
Image
Le documentaire est offert au format dimage respecté de 1.66:1 daprès un transfert 4:3.
Pour les segments dentrevues, la qualité du transfert en général est plutôt décevante. Lapparence donne limpression de regarder une vidéo amateur. Bien que le matériel source ne présente aucun parasite, la définition générale de limage laisse grandement à désirer. Les textures sont difficilement perceptibles et le niveau de détails est minimal. Les couleurs sont souvent inexactes, affichant un manque flagrant de nuances. Les contrastes semblent souvent trop élevés. Seul point positif de ce transfert, les noirs sont profonds et purs. Les dégradés, par contre, bloquent prématurément.
Numériquement, la situation nest guère mieux. Tous les défauts inimaginables sont visibles. Le plus notable se présente sous la forme dun effet de crénelage. Un halo nuit également à limage, tout comme un fourmillement incessant.
Son
Au niveau sonore, la seule bande-son disponible consiste en la version originale anglaise au format Dolby 2.0 Stéréo.
Dès la première écoute, tout semble indiquer que lenregistrement sonore provient de la caméra elle-même, sans équipement supplémentaire. En plus davoir un dynamisme plutôt limité, la captation nest pas sans défauts. De nombreux parasites sonores sont perceptibles. Les paroles demeurent heureusement nettes et intelligibles, mais nont pas le naturel souhaité. On ne peut pas parler dune véritable trame sonore, puisque la seule musique audible ne consiste que dune redondante mélodie assez basique. Les basses sont pratiquement nulles, sans compter quaucun aspect de cette bande sonore ne les exploite. Ceci sapplique uniquement pour lentrevue principale avec Aykroyd, car les autres extraits sont inconsistants. Par exemple, un ancien ministre de la défense canadienne participe à une conférence, mais lenregistrement provient dune caméra vidéo située loin de la scène
Seuls des sous-titres anglais sous forme de Close Captions sons offerts.
Suppléments/menus
Conclusion
Résumons simplement; le tout a lair produit par des amateurs. Quand on est face-à-face avec un acteur du calibre de Dan Aykroyd, on sattend à quelque chose de plus professionnel. Même la captation sonore laisse grandement à désirer. Les suppléments nincluent quune vulgaire bande-annonce. Bref, pour un véritable documentaire sur les objets volant non identifiés, il faudra attendre une uvre plus sérieuse
Qualité vidéo:
2,0/5
Qualité audio:
2,5/5
Suppléments:
-,-/5
Rapport qualité/prix:
2,0/5
Note finale:
2,0/5
Auteur: Martin Roy
Date de publication: 2006-09-16
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700
Date de publication: 2006-09-16
Système utilisé pour cette critique: Téléviseur NTSC 16:9 Hitachi 51F500, Récepteur/Lecteur DVD/Enceintes Panasonic SC-HT700